Les protestations persistantes en France ou en Allemagne constituent une menace pour les élites de l’UE. Le mécontentement a atteint la classe moyenne et donc le pilier de l’économie nationale. L’artillerie à Bruxelles s’alourdit. Le Digital Service Act établit de nouvelles autorités et un système d’espionnage moderne pour lutter contre les informations indésirables. Le « discours de haine », quoi que l’on entende par-là, sera désormais un « crime de l’UE ». Cette division de la société coûtera aux États membres plusieurs millions d’euros pour sa mise en œuvre et surchargera complètement les autorités : rien qu’en Allemagne, l’Office fédéral de la police criminelle s’attend à 720.000 cas suspects par an, contre 6.000 jusqu’à présent. Tout cela n’intéresse pas les institutions européennes. Elles continuent à se mettre au service de la technostructure et de ses intérêts de lobbying. Car le contrôle prétexte de la technostructure ne peut fonctionner qu’avec les outils de la technostructure, n’est-ce pas?
C’est désormais un modèle bien connu de tous les observateurs critiques : des « situations d’urgence » et des « scénarios de menace » proclamés par le biais de réseaux d’élites sont utilisés par les décideurs politiques comme base et justification de mesures restrictives et d’atteintes à différents droits de la liberté.
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Une seule chose leur fait peur: la vérité.
3 remarques : 1/Le problème de la vérité est qu’elle est difficile à établir, même la vérité factuelle n’est pas toujours évidente, Nietzsche disait «il n’y a pas de fait il n’y a que des interprétations de fait» 2/ en conséquence la seule attitude à adopter c’est la pluralité de l’information. C’est le génie du 1er amendement de la constitution US. 3/ pourquoi réprimer les discours de haine ? Si j’exprime ma haine de Hitler ou de Staline ça serait justifié. Je comprends que l’on interdise l’appel au meurtre.
Il suffirait de peu de choses , peut-être quelques connexions en moins pour qu’on lui dise M… Clairement il serait intéressant que chacun fasse un pas vers l’indépendance tant de l’UE que des « réseaux ». Ainsi lutter contre ce DSA (etatsunisation de la langue) s’est passer par un abandon des réseaux. Imaginons : Plus de YT, plus de FB, plus de X, plus de TT, plus de Insta, plus de …. (Remplir les …à votre guise) aboutirait sûrement à une contre réaction desdits réseaux. Le nerf des guerres restant toujours et encore le pognon !
Pris sur le site Zero Hedge
Authored by John & Nisha Whitehead via The Rutherford Institute,
“In a closed society where everybody’s guilty, the only crime is getting caught.”
– Hunter S. Thompson
According to the FBI, you may be an anti-government extremist if you’ve:
a) purchased a Bible or other religious materials,
b) used terms like “MAGA” and “Trump,”
c) shopped at Dick’s Sporting Goods, Cabela’s, or Bass Pro Shops,
d) purchased tickets to travel by bus, cars, or plane,
e) all of the above.
In fact, if you selected any of those options in recent years, you’re probably already on a government watchlist.
That’s how broadly the government’s net is being cast in its pursuit of domestic extremists.
We’re all fair game now, easy targets for inclusion on some FBI watch list or another.