Le nouveau traité sur le Règlement sanitaire international (RSI ) devrait être adopté lors de la 77e assemblée générale de 2024. Pour cette année, l’organisation onusienne souhaite au plus vite élargir ses prérogatives à « l’échelle mondiale » avec l’approche « une seule santé », une ébauche de traité sur les pandémies, et la réforme du Règlement sanitaire international (RSI). Le traité pose la gouvernance mondiale de la santé, comme solution pour régler les questions de pandémie. Mais le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, craint que ce projet risque de ne pas aboutir en « raison des mensonges et théories du complot ».
Le premier RSI a été publié par les Etats Membres de l’OMS en 1951. C’est le précurseur du véritable RSI qui a été réformé en 2005. Il s’agit d’un instrument de droit international qui oblige les 196 Etats partis ( dont 194 membres de l’OMS) de signaler à l’OMS les problèmes de santé publique qui pourraient présenter un risque de propagation à l’échelle mondiale. Le RSI met aussi en avant les approches à adopter par tous les pays et les obligations qu’ils doivent respecter en matière de préparation et de réponse aux épidémies. Le RSI décrit les critères permettant de déterminer si un événement particulier constitue une urgence de santé publique de portée internationale. Selon l’organisation onusienne, les gouvernements ont proposé 307 amendements qui vont apporter des modifications assez importantes au RSI. Ce projet avance, mais selonTedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS l’élan avait été ralenti par des positions tranchées et « un torrent de fausses nouvelles, de mensonges et de théories du complot » .
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Comment peut-on prendre ce personnage au sérieux?
« Pour atteindre un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer aux esprits des hommes leur individualisme, leur fidélité à la tradition familiale, le patriotisme national et les dogmes religieux. » (Brock Chisholm, premier directeur de l’OMS, 1951)
Petit à petit l’environnement, puis la santé sont apparus comme des vecteurs intéressants pour imposer des politiques mondiales.
Une vidéo remarquable sur les projets de l’OMS par Astrid Stuckelberger qui connaît bien l’institution:
https://odysee.com/@AgoraTVNEWS:5/OMS-et-ONU—leur-projet-de-coup-dÉtat-mondial-contre-nos-libertés—Astrid-Stukelberger:01
Le personnage ne semble ni sérieux, ni honnête , mais il faut prendre au sérieux son goût absolu du pouvoir et de l’argent grâce à ses pactes financiers .
Ou quand le pouvoir sur la santé devient un pouvoir des officines pour s’emparer des choix politiques.
Il faut retirer de l’esprit des gens que le médecin sait tout (des milliers de morts et d’hospitalisation en suite d’erreurs médicales) et retirer tout “pouvoir” au corps médical selon les principes du Code de Nuremberg qui devrait être incorporé dans la Constitution de chaque Etat démocratique.
Je suis seul propriétaire de mon corps et j’en assume seul la responsabilité.