Le reportage de France Télévisions consacré à Jordan Bardella a fait grand bruit. Un reportage consacré aux macronistes, et notamment à Alexis Kohler, secrétaire général de l’Elysée depuis 2017, était prêt à être diffusé. Il n’était pas à la gloire de Macron. Et, ô surprise, Delphine Ernotte a décidé de ne pas le programmer, et d’interrompre l’information politique sur les chaînes qu’elle préside. Bizarre ? vous avez dit bizarre ? Le service public rappelle qu’il est au service du pouvoir.
L’émission “Complément d’enquête” diffusée sur France Télévisions, le groupe télévisuel officiel, a ciblé, début janvier, Jordan Bardella, président du Rassemblement National. Dans un souci de pluralisme et d’équité, on aurait pu penser que le même groupe d’Etat délivre quelques informations sur les dessous de la macronie, qui ne manquent pas de piquant. Mais que nenni ! si les reportages étaient prêts, Delphine Ernotte entend ne pas fâcher le pouvoir.
Ainsi, le directeur de l’information, Alexandre Kara, ancien d’Europe 1, a décidé de ne pas programmer le reportage qui visait la macronie, et notamment Alexis Kohler. L’argument officiel résume parfaitement la novlangue en vigueur dans les allées du pouvoir : pour ne perturber le débat démocratique, la chaîne ne parle plus de politique. Ah ben voilà ! la démocratie, c’est ne pas savoir.
On saluera une fois de plus la grande indépendance de la presse subventionnée, où des journalistes stipendiés passent leur temps à accuser les médias indépendants de désinformer le public. On marche sur la tête.
France télévisions a toutes les caractéristiques de la Pravda qui encense le pouvoir et on trouve cela normal !!
Qui regarde encore la TV-Pravda ?? A moins d’être demeuré, on sait d’avance ce qu’ils vont raconter ; propagande, propagande.
On ne peut pas accepter de l’argent de l’Etat et refuser les ordres qui vont avec. Valable pour les journalistes, les acteurs et les agriculteurs.
… les médecins, les flics, syndicats, une partie non négligeable du corps médical (Covid).
Nous pouvons tous les considérer comme fonctionnaires, ce que certains étaient déjà avant (mais pas tous).
Et un fonctionnaire, ça fonctionne, puis ça collabore, surtout quand ça va mal, car ainsi on veut sauver ses petites fesses.
Le but de l’état est de faire en sorte que les acteurs de tous les domaines dépendent de lui, et donc finissent par se scléroser afin de lui obéïr aveuglément.
Plus de libre-arbitre.
L’état gère quasiment un euro sur deux qui est en circulation, alors que c’était un sur trois il y a cinquante ans.
Nous devons nous inspirer de Javier Milei. La démesure de la dépense publique est à l’origine de la faillite de la France. C’est seulement une dépense légitime pour les fonctions régaliennes ( sécurité extérieure armée et diplomatie, sécurité intérieure police et justice) Suppression des subventions aux associations qui est un clientélisme électoral malfaisant. Suppression du ministère de la culture. Nous pourrions avoir une éducation nationale débureaucratisée et privée ( 30% moins chère et combien plus efficace que la publique) avec un chèque éducation remis aux parents et financé par l’impôt (système suédois). Médecine centrée sur le soin, les médecins de la sécurité sociale sont inutiles. Expurger les cartes vitales en surnombre et supprimer les pensions de retraites des milliers de centenaires africains. Aucun argent pour l’Europe et l’Ukraine.
J’oubliais la pire dépense : l’audio visuel publique.
Tout à fait passionnant. Je me demandais pourquoi Pascal Praud était plutôt favorable aux “anti-vaxx”?