Face à une prétendue circulation rapide des virus respiratoires, les autorités sanitaires insistent sur l’importance de la vaccination. Conformément à l’avis de la Haute Autorité de santé (HAS) du 8 février 2023, une nouvelle campagne de vaccination contre la Covid-19 va avoir lieu au printemps, c’est-à-dire entre le 15 avril et le 16 juin 2024. Elle devrait permettre aux personnes éligibles de bénéficier d’une protection adéquate durant la saison d’été. Avec une campagne vaccinale anti-covid poussive qui a déjà débuté le 2 octobre 2023, le public français avait le choix entre les deux vaccins actualisés à ARNm de Pfizer et Moderna, le Nuvaxovid actualisé de Novavax avec leurs effets secondaires potentiels.
Saisie par la Direction générale de la santé, la HAS (Haute Autorité de Santé) a émis une nouvelle recommandation concernant la vaccination. Elle a établi les modalités pour la campagne de vaccination contre la Covid-19 qui se déroulera entre le 15 avril et le 16 juin 2024. A noter que le marché des vaccins contre le Covid-19 est au ralenti depuis 2022 suite à la baisse du nombre d’hospitalisations et de décès.
Une nouvelle campagne vaccinale au printemps
Le 8 février 2023, la Haute Autorité de santé (HAS) a émis un avis favorable à la proposition de la direction générale de la Santé (DGS) concernant la nécessité de lancer une nouvelle campagne de vaccination anti-covid Covid-19 au printemps, qui se déroulera entre le 15 avril et le 16 juin 2024.
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Il serait intéressant de voir si ceux qui sont rendus à 5, 6 ou 7 doses se manifestent car a priori grâce à eux ou à cause d’eux on va réussir à prouver que ces foutus injections ont surtout niquer nos libertés plutôt que la vie des injectés. Si certains arrivent à passer outre les N doses, il faut réussir à prouver que ce ne sont pas les injections le problème des effets secondaires. Stratégie interessante… de la part des labos et agences de contrôles des médicaments.
A l’inverse il ne faudrait pas qu’on s’aperçoive que ces nouvelles doses induisent encore plus de problème sinon c’est fin de la discussion.
Mais à priori on entend pas parler de problème plus que ça pour ceux qui sont devenus accro à ces injections.
Je trouve tout cela bien étrange que plus personne ne nous tienne clairement informés sur cette tranche marginale de la population.
C’est un sujet devenu tabou, officiellement interdit de discussion. On l’aborde donc entre soi, à mots couverts, au besoin en taisant les maux endurés, les alertes, les séquelles, comme on esquive les questions qui fâchent en général… Du fait des différences entre les doses en circulation, des bénéficiaires peuvent bénéficier de placébo ou de produit très peu toxique, avec peu de réaction du corps, et ainsi se refaire injecter sans risque, ce qui se comprend. Quant à ceux qui ont arrêté en cours de route, ils ont d’excellentes raisons et il leur appartient de les faire reconnaître, patience…
Bon l’injection ARNm est surtout dangereuse pour les jeunes gens.
Mais non. La surmortalité est supérieure pour les jeunes, mais le rêsultat numériquement moins visible (puisqu’on meurt peu à ces âges)
Par contre chez les 50-75 ans, ils sont nombreux à disparaître, même si la surmortalité est plus faible.
Pas que.
Autour de moi plusieurs morts avec des cancers fulgurants, et d’autres avec des cancers qui résistent aux chimiothérapies, radiothérapies, immunothérapies.
Vivants pour le moment mais mal en point.
10 personnes de mes proches en un an. C’est beaucoup. Et ils ne sont pas jeunes. Ni vieux.
Au mieux si ces choses sont inefficaces on ne gagne que la toxicité
Un vaccin contre un virus qui n’est plus là? Intéressant. La première question à se poser est : est ce bien un vaccin? La réponse est non.
L’obstination de la HAS est un élément très important qui éclaire toute la stratégie vaccinale
La HAS peut-elle ignorer les effets secondaires nombreux, dont 25% de graves? Non.
Et ces décès continuent de survenir. Les médecins et autres soignants savent, mais ne disent rien.
Et pourtant, la HAS pousse toujours aux injections.
Cela prouve que les effets secondaires ne sont pas un accident, mais au mieux, une conséquence pas si négative, au pire, une conséquence recherchée.