L’Europe s’équipe, surtout en paroles, mais aussi progressivement en actes. Thierry Breton a de grands projets pour l’avenir de la politique de défense européenne. Dans l’idéal, il deviendrait commissaire dans un nouveau portefeuille de la défense à créer par Ursula von der Leyen après les élections. Pour cela, il faut beaucoup d’argent, que l’on souhaite visiblement trouver à Bruxelles par le biais de la Banque européenne d’investissement et de la dette. C’est dans ce contexte, mais pas seulement, qu’il faut voir la politique ukrainienne actuelle des élites de Bruxelles et de certains États membres. Cette guerre est nécessaire comme prétexte pour faire avancer les structures autoritaires et centralistes.
Le budget de l’Allemagne est serré. Le ministre des Finances Christian Lindner a demandé aux ministères de présenter leurs propositions d’économies d’ici la mi-avril. On ne sait pas exactement combien il manque pour présenter un plan propre pour 2025. On parle d’une somme comprise entre 15 et 25 milliards d’euros.
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Espérons que l’AFD fera un super score aux prochaines européennes et foutra dehors la CDU, le SPD et les Verts.
Apparemment, il n’y a plus guère qu’à l’Est de l’Allemagne que les électeurs ont encore un peu de bon sens…
Ulrike Riesner nous donne l’explication limpide du déferlement totalitaire qui nous tombe dessus depuis 2020. Le projet européen d’une politique commune de la dette ( processus Hamilton ) a besoin de crises crées artificiellement et prolongées ( crises Covid, climatique, énergétique et ukrainienne). C’est un coup d’état de l’Union européenne.