La centralisation de l’UE s’aggrave. A partir de demain, les chefs d’Etat et de gouvernement discuteront à Bruxelles de l’opportunité de communautariser les investissements publics sous la forme d’un fonds d’investissement européen. Derrière cette idée se cache Enrico Letta, directeur de l’Institut Jacques Delors et possible futur commissaire européen. Ce fervent défenseur du marché unique ignore toutefois que les sanctions contre la Russie, les coûts élevés de l’énergie et la bureaucratie excessive de Bruxelles constituent les véritables obstacles à l’économie européenne.
La campagne électorale européenne s’accélère lentement. Lors du 9e Forum sur la cohésion qui s’est tenu la semaine dernière à Bruxelles, le marché unique a été invoqué dans l’esprit de Jacques Delors. L’un des défenseurs les plus véhéments de cette approche est Enrico Letta. Il a rédigé, à la demande de la Commission d’Ursula von der Leyen, un rapport sur la compétitivité de l’UE, qu’il présentera lors du sommet extraordinaire de demain.
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Je suis un béotien en économie mais je suis toujours surpris par l’obstination des bureaucrates européens à proposer les mêmes solutions qui ne marchent pas : la planification de l’économie, les subventions keynésiennes qui prélèvent chez l’entrepreneur rentable l’argent pour financer des projets infructueux. L’entrepreneur ne peut plus investir et ne peut plus embaucher, il ne peut plus créer de richesse. On a cru que le communisme était mort mais Sardine Rousseau propose de piquer l’épargne des européens Koulaks. Le socialiste Jacques Delors nous a quitté mais j’aurais voulu qu’on lui demande des comptes sur l’échec de la création de la monnaie unique. De même la transition énergétique est un suicide industriel de l’UE et la politique étrangère anti russe est un nouveau suicide de la civilisation européenne. Ce qui me sidère c’est le troupeau de moutons que nous sommes devenus pour 80% de la population .
Erratum j’ai écris « Sardine Rousseau » je voulais écrire « Staline Rousseau »