Durant la crise COVID, le laboratoire suédo-britannique après ces essais cliniques avait déclaré que son vaccin AstraZeneca était efficace à 79% pour prévenir le Covid-19 symptomatique et à 100% pour empêcher les formes sévères de la maladie et l’hospitalisation. En 2021, la question de l’efficacité du vaccin AstraZeneca (AZ) a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Une erreur de dosage lors des essais avait semé le doute. Après son déploiement, le vaccin AstraZeneca a été suspendu dans plusieurs pays, après la survenue de plusieurs cas mortels de thrombo-embolie, présentés malheureusement statistiquement comme négligeables par les autorités sanitaires. Le 27 mars 2024, la Commission Européenne a (enfin) pris une décision concernant le retrait de l’autorisation de mise sur le marché du médicament “Vaxzevria – Vaccin COVID-19 (ChAdOx1-S [recombinant])”, mais à la demande du titulaire, AstraZeneca. Cette décision, qui fait suite à une demande officielle de retrait présentée le 5 mars 2024. La décision de retrait de l’autorisation de mise sur le marché du vaccin “Vaxzevria” prendra effet à partir de ce jour, 7 mai 2024.
À titre de rappel, AstraZeneca a développé son vaccin contre le Covid-19 avec l’Université d’Oxford. Il a été distribué sous les marques Covishield et Vaxzevria. En mars 2021, l’Agence européenne des médicaments avait annoncé à la suspension d’un lot du vaccin AstraZeneca par dix-sept pays de l’Union dont la France, suite à des cas de troubles de la coagulation et la formation de caillots. Pourtant l’EMA avait jugé “sûr et efficace” son utilisation dans un communiqué. A la même période aux États-Unis, l’Institut national des maladies infectieuses et des allergies (NIAID), qui supervise des essais cliniques de vaccins, a déclaré que « le laboratoire AstraZeneca aurait pu utiliser des données obsolètes dans ses essais cliniques aux États-Unis.» Pourtant, si l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca n’a pas été approuvée aux États-Unis, c’est tout simplement parce qu’il n’était pas en mesure de concurrencer les vaccins à ARNm de Pfizer/BionTech et de Moderna. A la même période, le laboratoire a également été accusé de retards de livraisons par l’Union européenne. L’UE avait accusé fin mai 2021 à AstraZeneca de “violation flagrante” de leur contrat.
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Il faut retirer tous les « vaccins » ARNm utilisant protéine Spike qui est toxique.
Manière de noyer le pois(s)on….
AstraZeneca a sans doute des casseroles mais ce n’est RIEN EN REGARD DE PFIZER et Moderna, l’ARNmessager EST BIEN PIRE !!!
Et comme les témoignages d’effets secondaires et de décès dûs à ces derniers sont en train de gonfler dangereusement, l’UE se dépêche de DÉTOURNER L’ATTENTION EN CRIANT HARO SUR LE BAUDET AstraZeneca ????????????