Vaccins COVID : Pfizer et Astra Zeneca renvoient l’ascenseur à Macron

Vaccins COVID : Pfizer et Astra Zeneca renvoient l’ascenseur à Macron


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Tout le monde se souvient de l’empressement manifesté par la caste (à commencer par Ursula von der Leyen qui a négocié seule et de gré à gré 45 milliards € de bon de commande à Pfizer), dont Emmanuel Macron, pour nous forcer à recevoir des injections de produits expérimentaux maintenant retirés de la vente pour leur dangerosité, à l’époque du COVID. Les milliards ne sont pas tombés en vain dans l’escarcelle de ces grands laboratoires mondiaux. Aujourd’hui, l’heure de payer les commissions est venue. Pfizer et Astra Zeneca annonceront au sommet « Choose France » des centaines de millions € d’investissement. Pour vendre de nouveaux produits à la sécurité sociale, bien sûr, c’est-à-dire au contribuable prisonnier d’un Etat-Providence. Mais providence pour qui ?

Trump II : l'imposture souverainiste et le triomphe de l'étatisme, par Elise Rochefort

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Lors de son investiture en janvier dernier, Donald Trump promettait à l'Amérique un "nouvel âge d'or". Il s'était vendu à l'électorat, et à une partie du monde fascinée par son discours, comme le champion du peuple contre les élites, le rempart souverainiste contre la dissolution mondialiste, et l'homme d'affaires pragmatique qui allait "assécher le marais" de Washington. Un Asselineau ou un Philippot américain au fond. Dix mois plus tard, le bilan est cinglant. L'Amérique est plongée dans


Rédaction

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Meloni veut que le piège de la BCE se referme : l'heure de la grande confiscation

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Le ministère italien des Affaires Etrangères Tajani a imploré la BCE de baisser ses taux directeurs pour favoriser les exportations italiennes, fragilisées par le protectionnisme de Trump. Mais la balance commerciale italienne est positive (contrairement à la France). Ne s'agit-il pas plutôt de diminuer le coût de la dette pour l'Etat italien, sur le dos des épargnants qui vont s'appauvrir ? Pour comprendre la crise systémique qui couve, il faut saisir l'interaction toxique entre trois pili


Rédaction

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Bébéar, le parrain par qui le capitalisme à l'anglo-saxonne a combattu le capitalisme de connivence en France

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Le terme de « parrain », accolé par la presse et ses pairs à Claude Bébéar, n'est pas anodin. Il ne décrit pas un simple manager, aussi brillant soit-il, mais un détenteur d'autorité, un régulateur de l'ordre implicite, un arbitre des conflits du capitalisme français. Mais de quel capitalisme parle-t-on? Pour le comprendre, il faut saisir le moment de son avènement : l'après-Ambroise Roux. Le trône de la place de Paris est devenu vacant en avril 1999, au décès de Roux. Ce dernier incarnai


Éric Verhaeghe

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Dans l’histoire, très peu de déficits budgétaires ont été réduits à coups de hausses d’impôts !
Photo by Dimitri Karastelev / Unsplash

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Croire qu’on peut réduire le déficit public en augmentant les impôts relève du réflexe maladif : seule la réduction de la dépense publique peut, dans la France de 2025, y parvenir. L'État moderne est en effet un pompier-pyromane: face à l'incendie structurel des finances publiques, le premier réflexe, pavlovien, de la caste au pouvoir est de brandir le spectre d’un impôt supplémentaire.Chaque nouveau déficit, chaque alerte de la Cour des Comptes, pourtant acquise à la doxa socialiste, est invar


FLORENT MACHABERT

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