Avec la crise du covid, la vaccination a été présentée comme l’outil majeur pour lutter contre la propagation du virus, assurant la réduction des risques de formes graves et la protection chez les vaccinés. Malheureusement, avec le déploiement des injections, des signalements d’effets indésirables se sont multipliés. En effet, selon The Telegraph, AstraZeneca a reconnu que son vaccin peut, causer un syndrome de thrombose avec thrombocytopénie (TTS). Une étude australienne récente menée par l’Université Flinders et des experts internationaux a mis en lumière une nouvelle complication liée au vaccin AstraZeneca: une maladie rare semblable au VITT après une infection naturelle par un adénovirus, communément associé à un rhume rare du sang. Chez certains vaccinés, le vaccin d’AstraZeneca semble induire la production d’anticorps qui interagissent avec les plaquettes, les agglutinant et provoquant ainsi la coagulation du sang. Ce processus diminue le nombre de plaquettes en circulation, entraînant une thrombocytopénie, pouvant être fatale.
En 2021, l’efficacité du vaccin AstraZeneca (AZ) a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Des études israéliennes et américaines avaient mis en doute le bénéfice/risque de l’AZ. De nouvelles recherches réalisées par l’Université Flinders et des experts internationaux ont permis de comprendre la thrombocytonie et de la thrombose immunitaire ou VITT provoquées par ce vaccin anti-Covid-19. La thrombocytopénie se caractérise par une réduction significative du nombre de thrombocytes (plaquettes sanguines). Les plaquettes sont essentielles à la formation de caillots pour stopper les saignements. En cas de déficit en plaquettes, le corps est incapable de former des caillots adéquats, ce qui peut provoquer des saignements excessifs. Dans de rares cas de thrombocytopénie, des caillots peuvent se former dans les vaisseaux drainant le sang du cerveau.
Une maladie du sang post-vaccination AZ
Au cœur de la pandémie, en 2021, des cas de VITT après l’injection des vaccins à base de vecteurs adénovirus comme l’Oxford-AstraZeneca ont été signalés. Apparemment, ces maladies sont causées par un auto-anticorps sanguin dirigé contre une protéine nommée facteur plaquettaire 4 ou PF4.
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Cela justifie bien les recherches génétiques sur les virus les plus contagieux pour l’espèce humaine, la grippe A et le rhume (corona), afin de développer des armes biologiques sélectives et mortelles. Une théorie de l’évolution non pas fondée sur la sélection naturelle mais sur l’intelligence artificielle émerge.
C’est le choix catastrophique de la protéine Spike comme antigène susceptible d’induire l’immunité contre le coronavirus, cette protéine Spike est toxique, elle interfère avec le système renine – angiotensine, elle interfère aussi avec les thrombocytes qui jouent un rôle essentiel dans la coagulation sanguine, je me souviens en 2021 de l’étudiant en médecine décédé d’une thrombose une semaine après sa « vaccination »
Les effets secondaires d’Astrazeneca sont les mêmes que pour Pfizer.
Et la FDA savait dès octobre 2020 que la thrombocytopénie en faisait partie.
https://aitia.fr/erd/que-savait-la-fda-des-vaccins-quelle-vient-dautoriser/
Alexandra Henrion-Caude en parle : https://www.youtube.com/watch?v=S91pXiodPwQ
Ce focus sur AstraZeneca n’est qu’un détournement de l’attention !!!
En effet, il survient PROVIDENTIELLEMENT au moment où le Tribunal de Liège doit statuer sur le dossier introduit par le lobbyist Belge Frédéric Baldan contre Pustula la Hyène et contre Pfizer…
Les avocats de ces derniers essayent de récupérer la plainte pour la diriger vers l’instance créée soudain en 2021 pour juger les cas de l’UE… càd pour ENTERRER L’AFFAIRE, bien sûr !!!
Et EN CATIMINI, sauf que…