Après The Telegraph, c’est désormais au tour du New York Post de relayer ce nouveau rapport sur la surmortalité des personnes entièrement « vaccinées » en Occident. Cette étude récente menée par une université aux Pays-Bas a lié de nombreux décès aux vaccins anti- COVID-19. Selon l’étude, la surmortalité a explosé dans 47 pays occidentaux comprenant les USA, augmentant de 87% en 2020 à 91% en 2022. Cet excès de mortalité a été surtout observé en 2021, dans la période où les injections Covid ont été imposées aux populations de moins de 65 ans. Les analyses des données ont montré qu’il ne s’agissait pas d’une hausse liée au Covid mais bien aux injections expérimentales anti-COVID développées rapidement en réponse à la pandémie. Une situation qui interpelle.
C’est la seconde fois que nous rapportons cette étude de la Vrije Universiteit aux Pays-Bas, sur les taux de morbi-mortalité liés aux injections contre Covid dans les pays occidentaux, y compris les États-Unis. Selon une nouvelle étude, après avoir analysé les données de 47 pays occidentaux, des chercheurs des Pays-Bas ont découvert qu’on a y a recensé plus de 3 millions de décès supplémentaires depuis 2020, malgré le déploiement des vaccins et des mesures de confinement. Cette analyse, qui a examiné le taux de mortalité dans 47 pays occidentaux, indique que la surmortalité reste élevée depuis 2020. Ces résultats, rapportés par le New York Post, suggèrent que les vaccins Covid, développés rapidement et avec des essais cliniques accélérés, pourraient être associés à cette augmentation des décès. Cette nouvelle étude publiée dans le BMJ Public Health suscite des inquiétudes réelles du fait que les effets indésirables des vaccins sont largement sous-déclarés.
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