Alors que les yeux du public sont surtout tournés vers l’éventuelle introduction d’un euro numérique, les banques commerciales travaillent de leur côté à l’émission de monnaie « tokenisée ». Ces Commercial Bank Money Token (CBMT) doivent soutenir la numérisation des processus commerciaux automatisés et des paiements dans l’Internet des objets. Pour les banques, il s’agit d’optimiser les coûts, la vitesse et l’efficacité des transactions entre entreprises au niveau national et international. Pour le client, le risque d’une perte totale de contrôle sur ses transactions économiques augmente.
Regardons d’abord les principaux détails techniques : les banques commerciales émettent des Commercial Bank Money Token (CBMT) dans le cadre du système de réserves obligatoires existant. Cette nouvelle forme de monnaie de crédit ne doit pas non plus être couverte 1:1 par les réserves de liquidités des banques. Les banques commerciales doivent toutefois détenir de la monnaie numérique de banque centrale sous forme de CBDC de gros afin de pouvoir effectuer des transactions entre différents établissements bancaires via les CBMT. Enfin, les CBMT représentent une dette pour la banque émettrice.
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Bon, ben je sais que je suis un primitif et que l’intelligence artificielle me remet à ma place de primate, mais n’empêche que je n’ai rien compris. peut-être, finalement est-ce là le but de ces histoires de CBT, CDBT, DCDC, ACDC etc… Un primate a besoin de choses simples, si on me doit le paiement d’une vente ou d’un travail réalisé, on me donne quelque chose de tangible que je pourrai à mon tour donner en échange d’un litre de pétrole, d’un repas au restaurant etc… Tout le reste me parait relever d’une seule philosophie: le fil rouge sur le bouton rouge. Je n’ai pas besoin d’une banque. si ce n’est que ce besoin est légalement obligatoire. Quand la France sera, sous peu, rendue au niveau de la Grèce ou de l’Argentine, on sera bien obligés de revenir à des choses simples parceque nous serons redevenus sages par obligation alimentaire. Et finalement, qu’y a-t-il de plus naturellement sain que de travailler pour obtenir un bien tangible en échange, qu’on peut appeler sesterce ou doublon ou pièce de vingt sous?