En cette période de transhumance estivale, les vacanciers se disent que, décidément, l’essence est bien chère, mais que c’est bien normal, quand on pense aux tensions entre l’Iran et Israël, et aux menaces que les Houtis font peser sur le commerce en mer Rouge.
Or, le prix que nous voyons à la pompe n’est que la conséquence de taxes surélevées : la République, cinquième pays le plus endetté au monde, profite des transhumances pour imposer au maximum les automobilistes sur leur consommation d’énergie, sachant bien qu’ils sont prêts à tous les sacrifices pour changer d’air, quitte à réduire leur budget ailleurs, les loisirs, les restaurants[1]…
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