Pour faire face à une énième vague de Covid, les gouvernements mondiaux ont opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager. Ces injections ont été présentées comme la réponse incontestable dans la lutte contre la maladie. Cependant, depuis peu, même la presse subventionnée commence à parler des effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins ARN. La technologie ARN sera désormais utilisée dans la conception d’un vaccin contre le cancer du poumon. Les premiers essais cliniques sont déjà lancés.
Alors que les effets secondaires non reconnus des injections ARNm continuent d’être signalés. La société de biotechnologie allemande BioNTech annonce le lancement des premiers essais cliniques d’un vaccin à ARNm pour traiter le cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC), la forme la plus courante de cette maladie. Ce vaccin connu sous le nom de BTN116 utilise la technologie de l’ARNm, la même qui a permis de développer rapidement des vaccins anti-COVID-19.Pour rappel, l’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. Si l’ARNm fabrique une protéine trop proche des nôtres, les anticorps induits par notre réaction immunitaire vont s’attaquer à nos propres cellules, cela s’appelle une maladie auto-immune. Malgré la dangerosité de ces injections, les entreprises pharmaceutiques ont pu réaliser des milliards de bénéfices grâce au généreux soutien de l’État pendant la crise du Covid-19. Elles font maintenant avancer la recherche et le développement de la technologie ARNm pour toutes sortes de vaccins.
Lancement des essais de phase 1 du vaccin à ARNm contre le cancer du poumon
La société allemande de biotechnologie BioNTech, le partenaire de Pfizer dans la production des vaccins Covid, a récemment utilisé la technologie ARNm pour fabriquer un vaccin contre le cancer du poumon. Notons que cette maladie a fait 1,8 million de décès dans le monde en 2020, dont 230 700 sont issus de l’Union européenne, représentant près d’un décès par cancer sur cinq dans la région.
Les essais cliniques de phase 1 du vaccin à ARNm de BioNTech, baptisé BTB116, sont lancés dans 34 sites de recherche répartis dans 7 pays incluant les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Hongrie, l’Espagne, la Pologne et la Turquie. Aux Etats-Unis, trois centres sont ouverts et ils recrutent des patients atteints du cancer du poumon au stade précoce et avancé.
Siow Ming Lee, oncologue médical consultant à l’University College London Hospitals (UCHL), dirige les essais au Royaume-Uni et souligne le potentiel de cette nouvelle technologie. Il a déclaré:
« Le cancer du poumon est le plus grand tueur au monde. En utilisant la technologie de l’ARNm, ce n’est qu’une première génération, mais j’espère que c’est un début qui conduira à de meilleurs résultats pour les patients atteints de cancer du poumon dans le monde entier »
Les détails sur le vaccin
Selon Siow Ming Lee, le vaccin BTN116 a été conçu pour cibler une protéine commune sur les cellules cancéreuses et agir sur elle. Il va compléter les autres traitements du cancer du poumon comme l’immunothérapie et la chimiothérapie. Tout dépend de la gravité de la maladie. Contrairement au vaccin Covid, le BTN116 sera à administrer à plusieurs doses.
Un patient âgé de 67 ans au Royaume-Uni, Janusz Racz, a été le premier à avoir reçu le vaccin contre le cancer du poumon. Il a déclaré:
« J’ai décidé de participer parce que j’espérais qu’il fournirait une défense contre les cellules cancéreuses. Mais j’ai aussi pensé que ma participation à cette recherche pourrait aider d’autres personnes à l’avenir et aider cette thérapie à devenir plus largement disponible »
Si les agences sanitaires ont déclaré que « les effets secondaires sont attendus et non-graves » chez les vaccinés ARN covid. Le constat est nettement plus inquiétant. Parmi les dizaines de milliers d’effets secondaires, seules les myocardites/péricardites, et l’hypertension artérielle sont confirmés en tant qu’effets secondaires directs des vaccins. Les autres sont en cours de surveillance. Depuis le déploiement des injections COVID à ARNm, des signalements d’effets indésirables se sont multipliés, suscitant des demandes d’indemnisation.
Le Courrier des Stratèges
Pensez par vous-même
Il semble ici qu’il ne s’agisse pas de provoquer la génération de protéine par notre corps mais d’attaquer des cellules malades déjà présentes dans le corps.
Il ne faut pas agiter le chiffon rouge trop tôt. Mais il faut surveiller cela de près