L’aspect le plus tragique de la Guerre d’Ukraine est l’immobilisme occidental dans le “déni de réalité”. Dès le mois de mars 2022, la Russie avait montré la supériorité que lui conférait, sur le plan militaire, l’arme hypersonique. A l’époque, cela avait été suffisant pour que les Ukrainiens, terrifiés, demandent à négocier (à Istanbul). A l’époque, cependant, Américains et Britanniques, en plein déni de réalité (les USA ont au moins dix ans de retard en matière d’armes hypersoniques), avaient dissuadé Vladimir Zelensky d’aller boucler la négociation à Moscou. Deux ans et demi plus tard, les frappes hypersoniques répétées de la Russie semblent ébranler la confiance en eux des Occidentaux var de plus en plus de “conseillers militaires” occidentaux y sont touchés. Mais combien de temps faudra-t-il encore pour que l’axe euro-atlantique accepte l’évidence: il vaut mieux négocier plutôt que de prolonger les souffrances de l’Ukraine?
Dans un papier récent publié sur infobrics, Drago Bosnic écrit, avec une certaine ironie:
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