Des cancers foudroyants, agressifs, qui touchent des populations statistiquement épargnées d’ordinaire par les cancers “classiques” : il est de moins en moins rare d’en entendre parler autour de soi. Ici, c’est un jeune adulte frappé par une leucémie foudroyante. Là, c’est une maman de 40 ans emportée en quelques mois par un cancer du poumon ou du pancréas. Le phénomène fait débat parmi les médecins. Le professeur Zizi nous en parle : il établit un lien plausible, probable, avec le vaccin ARN Messager.
Notre époque prouve à foison que l’on peut à la fois faire l’éloge permanent de la science et de la technique, tout en étant allergique à leurs grands principes. Ainsi, alors que l’observation la plus évidente et la mieux partagée montre que des cancers agressifs et souvent foudroyants (des turbo-cancers) touchent des populations qui, jusque-là, y échappaient statistiquement, la communauté médicale regarde avec gêne le bout de ses chaussures lorsqu’il s’agit d’aborder scientifiquement la cause de cette vague inquiétante.
Pourtant, même le Quotidien du Médecin, pourtant très loyaliste vis-à-vis de la doxa de plateau, lance quelques avertissements lointains. On retiendra par exemple cet article où la montée des cancers du poumon et du pancréas chez les femmes est évoquée comme une alerte sur une dégradation prétendument mystérieuse de notre situation sanitaire.
Le professeur Zizi, installé aux États-Unis, que nous avions déjà interrogé sur les effets secondaires des vaccins à l’ARN, a décidé de mettre, pour nous, les pieds dans le plat : il analyse méthodiquement les effets scientifiquement établis du vaccin, notamment les réactions auto-immunes passagères qu’il produit sur les personnes injectées. D’une manière générale, l’injection à l’ARN peut produire (insistons sur le fait que ce n’est pas systématique et, selon le Professeur Zizi, limité à 3% des personnes injectées) une baisse d’immunité propice au développement de diverses affections.
Les turbo-cancers au sein de populations présentant d’ordinaire peu de risques font probablement partie de ces conséquences à long terme des injections d’ARN.
Le professeur Zizi donne quelques conseils pour tous ceux qui présenteraient des symptomes anormaux, notamment des zonas :
- ne pas hésiter à demander des prises de sang pour vérifier la présence de marqueurs cancéreux
- si un diagnostic est posé, lancer la thérapie le plus rapidement possible. C’est une question de jours !
On notera que le professeur Zizi analyse avec précision les raisons pour lesquelles, initialement, la stratégie en matière de COVID, fondée sur le tout-vaccin, fut élaborée au début de l’épidémie. Un moment à ne surtout pas manquer, où il évoque le rôle de Bill Gates dans les choix stratégiques que l’Occident a suivis à partir de 2020.
Le Courrier des Stratèges
Pensez par vous-même
Ceci est tout à fait cohérent avec les observations du Dr Ute Krüger (qui avait aussi donné l’alerte dès 2022)
Traduction française de l’article:
https://www-berliner–zeitung-de.translate.goog/open-source/corona-impfstoffe-pathologin-warnt-diese-mrna-technik-ist-nicht-ausreichend-getestet-li.2259438?utm_medium=Social&utm_source=Twitter&_x_tr_sl=de&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp&_x_tr_hist=true#Echobox=1727888997
Les 3% s’expliquent par deux facteurs:
– tous les lots de vaccins ne contiennent pas les mêmes produits, un petit nombre d’entre eux concentre un grand nombre d’effets indésirables
– la possibilité d’intraveineuses accidentelles puisque le geste indispensable d’aspiration préalable n’a plus été recommandé pour les vaccins Covid…
Est-ce que le virus a pu aussi entraîner les mêmes effets?
Non, pour une raison très simple. Le virus en effet est véhiculé par des protéines spike qui percent les membranes moléculaires pour qu’il fasse ses dégâts dans l’organisme. Mais quand le système immunitaire a vaincu le virus, il n’y a pus de protéines spike.
A l’inverse, le vaccin s’attaque à l’ADN du porteur pour donner l’ordre à un certain nombre de cellules de fabriquer des protéines spike (dans le but de provoquer une réponse immunitaire). Mais on ne maîtrise rien sur ces “usines à spike”. Le plus vraisemblable est que chez certaines personnes ces “usines” continuent à fonctionner longtemps, voire indéfiniment, en produisant des protéines spike qui s’attaquent à tout l’organisme et en particulier au système immunitaire, provoquant toutes sortes de maladies.
Un jour viendra ou l’humanité atteindra une forme de vue panoramique de ce qu’elle est entrain de subite. Pour l’instant elle doit passer par la case “expérience”. Cela m’est particulièrement Frederic insupportable, mais je dois m’en accommoder, car comme dit le proverbe, rien ne serre de courir, il faut partir à point nommé! Disons point de maturation.