Hier 17 octobre, Ulrike Reisner vous parlait du discours belliciste tenu, la veille, par Friedrich Merz, le chef de l’opposition, au parlement allemand. Or il existe une convergence étonnante entre son discours et celui que tenait, au même moment, Vladimir Zelensky, devant le parlement ukrainien. L’enjeu, caché chez Merz, ouvertement révélé chez Zelensky, c’est le dépeçage de l’économie ukrainienne avant la fin de la guerre. Ce qui, automatiquement, prolonge celle-ci.
Friedrich Merz, candidat chrétien-démocrate, à la succession d’Olaf Scholz
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.