La décision du conseil d’administration de l’IEP de Strasbourg de rompre les liens avec l’université Reichman de Herzliya est courageuse et légitime. N’en déplaise au ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot: non seulement il semble ignorer que les universités françaises sont autonomes depuis quinze ans; mais il ne connaît pas, visiblement, cette université qui est l’un des centres névralgiques du complexe militaro-industriel occidental.
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot s’est ému, et une partie du monde dirigeant français avec lui, que l’Institut d »‘Etudes Politiques de Strasbourg ait voté, en son conseil d’administration, la fin du partenariat avec l’université Reichman de Herzliya.
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