La Cour des Comptes confirme les analystes complotistes du Courrier…

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Depuis près de dix-huit mois, le Courrier avertit sur les risques de trésorerie de la sécurité sociale, comme élément majeur à intégrer dans les anticipations en matière de finances publiques et de crise systémique. Selon Rudy Reichstadt et son financeur, la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, nous sommes complotistes. Oh ! quelle surprise ! le Cour des Comptes, présidée par Pierre Moscovici, confirme nos analyses complotistes…

La trésorerie de la sécurité sociale est-elle fragile ? Nous l’affirmons (et nous alertons !) depuis plusieurs mois sur ce sujet. Nous en fîmes même le coeur de notre contestation de la loi fiscale spéciale pour 2025, très opportunément enterrée par le gouvernement grâce à une adoption accélérée du budget 2025. Il est évident que les modalités de financement du déficit de la sécurité sociale sont fragiles, précaires, et qu’elles exposent les Français (particulièrement les retraités) à de grands risques de marché.

Selon une tradition débile toute entière due à la Fondation pour la Mémoire de la Shoah (qui bénéficie d’aides publiques…), mère financière de « Conspiracy Watch » (l’organisme milicien qui nous fiche méticuleusement selon nos opinions (les nazis en auraient rêvé en 1941… la Fondation pour la Mémoire de la Shoah l’a fait)), nos travaux d’alerte à l’intention de la population sont catalogués comme complotistes ou conspirationnistes. Et pourtant…

La Cour des Comptes, dans son rapport sur la sécurité sociale, vient de confirmer nos affirmations : il y a bien un risque de trésorerie pour la sécurité sociale.

Quel est l’intérêt, pour la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, d’étiqueter comme complotistes des travaux qui ont pour seul défaut d’anticiper d’un an les conclusions de la Cour des Comptes ?


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