Israël-Iran: L’installation dans une guerre longue va-t-elle obliger les Etats-Unis à intervenir?

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Si rien ne change au rapport de forces actuel, l’Iran et Israël s’installent dans une guerre longue, ce que les spécialistes appellent une « guerre d’attrition ». Après un avantage décisif à Israël dans les premières heures du conflit, le rapport de forces s’est équilibré. Au point que l’avis se répand, à Washington, que la seule manière, pour Israël, d’éviter l’épuisement des munitions du « Dôme de Fer », c’est une entrée en guerre des Etats-Unis

🇮🇷🇮🇱| Iran succesfully hit the safe house of an Israeli official (believed to be a former minister) in the Tel Aviv suburbs.

Israel is censoring details of this hit. It might very well be an assassination. pic.twitter.com/toZcBJAwWx

— Arya – آریا (@AryJeay) June 19, 2025

Trump II : l'imposture souverainiste et le triomphe de l'étatisme, par Elise Rochefort

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Lors de son investiture en janvier dernier, Donald Trump promettait à l'Amérique un "nouvel âge d'or". Il s'était vendu à l'électorat, et à une partie du monde fascinée par son discours, comme le champion du peuple contre les élites, le rempart souverainiste contre la dissolution mondialiste, et l'homme d'affaires pragmatique qui allait "assécher le marais" de Washington. Un Asselineau ou un Philippot américain au fond. Dix mois plus tard, le bilan est cinglant. L'Amérique est plongée dans


Rédaction

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Meloni veut que le piège de la BCE se referme : l'heure de la grande confiscation

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Le ministère italien des Affaires Etrangères Tajani a imploré la BCE de baisser ses taux directeurs pour favoriser les exportations italiennes, fragilisées par le protectionnisme de Trump. Mais la balance commerciale italienne est positive (contrairement à la France). Ne s'agit-il pas plutôt de diminuer le coût de la dette pour l'Etat italien, sur le dos des épargnants qui vont s'appauvrir ? Pour comprendre la crise systémique qui couve, il faut saisir l'interaction toxique entre trois pili


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Le terme de « parrain », accolé par la presse et ses pairs à Claude Bébéar, n'est pas anodin. Il ne décrit pas un simple manager, aussi brillant soit-il, mais un détenteur d'autorité, un régulateur de l'ordre implicite, un arbitre des conflits du capitalisme français. Mais de quel capitalisme parle-t-on? Pour le comprendre, il faut saisir le moment de son avènement : l'après-Ambroise Roux. Le trône de la place de Paris est devenu vacant en avril 1999, au décès de Roux. Ce dernier incarnai


Éric Verhaeghe

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Dans l’histoire, très peu de déficits budgétaires ont été réduits à coups de hausses d’impôts !
Photo by Dimitri Karastelev / Unsplash

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Croire qu’on peut réduire le déficit public en augmentant les impôts relève du réflexe maladif : seule la réduction de la dépense publique peut, dans la France de 2025, y parvenir. L'État moderne est en effet un pompier-pyromane: face à l'incendie structurel des finances publiques, le premier réflexe, pavlovien, de la caste au pouvoir est de brandir le spectre d’un impôt supplémentaire.Chaque nouveau déficit, chaque alerte de la Cour des Comptes, pourtant acquise à la doxa socialiste, est invar


FLORENT MACHABERT

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