L’interview de l’anthropologue Jean-Dominique Michel est l’occasion d’aborder de façon “panoramique” et globale la question de la crise sanitaire et de sa gestion par la caste. Nous avons publié hier, par ailleurs, une interview de Thibault Kerlirzin, qui évoquait le rôle de Bill Gates auprès de l’Union Européenne.
Plus que jamais, l’analyse concrète du processus décisionnel dans cet ensemble multilatéral qu’est l’Union Européenne se révèle indispensable pour comprendre les mutations en cours dans notre société. Le temps de la démocratie cède la place au temps du totalitarisme, sans qu’on y prenne garde.
Fondateur du Courrier des Stratèges. Ancien élève de l'ENA, ancien administrateur de la sécurité sociale. Entrepreneur.
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Elles utilisent non pas la peur (tout bon pouvoir peut l’utiliser) mais la bêtise. Voir Dostoïevski et mon dernier recueil. Et elles gagnent facilement car elles ne surestiment pas leur électeur couillon.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/12/03/dictature-sans-carbone-et-resistance-virtuelle-chroniques-dun-monde-en-rapide-liquidation-nouveau-recueil-notre-dostoievski-traduit-et-publie-et-meme-presente-en-roumanie/
Entretien extrêmement intéressant.
Il y aurait beaucoup de choses à dire sur cette analyse, en particulier sur la crédulité des “scientifiques” à l’apparition du Covid, alors qu’il suffisait d’avoir partagé la vie d’un médecin généraliste pendant plus de cinquante ans, pour savoir, dès l’apparition de cette “pandémie”, que c’était une grippe comme toutes les autres !
Et quant à la neutralité suisse, ce n’est pas la première fois qu’elle lui tourne le dos ! Demandez aux épouses suisses d’apatrides juifs qui n’ont pas réussi à faire accepter l’entrée de leur époux en Suisse en 1940, et à qui l’administration suisse, dans sa grande humanité, proposait un divorce automatique !
Bizarre tout de même, cette façon de caviarder un commentaire pour supprimer une critique sur la mauvaise prise de son ?
“Le véritable exil n’est pas d’être arraché de son pays, c’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer.”
Edgar Quinet