La prise de contrôle des lieux de pouvoir par la foule au Brésil intervient après plus de deux mois de suspens où un coup d’État militaire était annoncé avec insistance (et espérance) dans certains milieux de la résistance en France (et ailleurs, au demeurant). Finalement, ce coup aussi hasardeux qu’éphémère soulève de nombreuses questions sur les moyens de lutter contre la mondialisation aujourd’hui. De nombreux mouvements français ont intérêt à bien méditer la leçon qui vient d’être donnée. Un anti-putsch ne réussit pas avec de la bonne volonté et la fleur au bout du fusil.
Mais qui donc a bien pu croire que l’on pouvait réussir un anti-putsch dans un grand pays comme le Brésil au terme d’une promenade de santé ? Médusé, le monde a vu des manifestants bon enfants inonder les lieux de décision à Brasilia, la capitale administrative du pays, coeur du district fédéral, sans que, dans un premier temps, la police et l’armée ne s’y opposent réellement. Rapidement, le président Lula a fui à Sao Polo pour rassembler ses forces et reprendre le contrôle de l’Etat. Aujourd’hui, la presse brésilienne annonce 1.200 détentions, ce qui est énorme, et Lula s’assure progressivement de la maîtrise de la situation.
Selon les informations venues du Brésil, l’opération était tout à fait prévisible, prévue, et le pouvoir semble avoir laissé faire sans réagir… du moins au début. Ceux qui avaient suivi la prise du Capitole le 6 janvier 2021, puis l’occupation de Toronto par les transporteurs routiers au Canada, ne manqueront pas d’identifier quelques points communs qui posent question sur le déroulement de ces manifestations outre-Atlantique.
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Ceci explique pourquoi le général en chef des armées Pierre de Villiers a été démissionné par le jeune McRon débutant Président. Cela confirme aussi la soumission de l’armée française qui ne se plaint aucunement d’être dépossédée de ses armements au point de n’être plus opérationnelle au service des intérêts de la France dans un monde de plus en plus instable.
Si vous placez le moindre espoir dans l’armée, c’est que vous ne connaissez pas les généreux.
Généraux.
OTTAWA !!! OTTAWA !!! OTTAWA !!!
Devant le parlement du Canada. Pas Toronto, même s’il y a eu quelques manifs dans les grandes villes du pays, le siège était à Ottawa pendant un gros mois.
Tous ces gens sont des amateurs face à des professionnels.
Tout à fait d’accord. En plus de créer la peur, il y a sans doute aussi la volonté de créer une forme de désespérance chez les résistants ( faire applaudir le personnel médical, puis les jeter à la rue, stimuler l’envoi de nourriture à l’Ukraine qui n’aboutit à rien, etc…). D’où l’importance me semble-t-il de renforcer son immunité, sa joie de vivre, d’avoir des projets, de cultiver sa spiritualité,
etc