Ce pourrait bien être la crotte de chat, carburant du futur, qui réchauffera cet hiver les Britanniques « solidaires de l’Ukraine » – comprendre : otages du Great Reset.
Vous savez bien, la Grande Réinitialisation : ces nanotechnologies magiques qui allaient rendre totalement obsolète le vieil hôpital, ces énergies du futur qui devaient reléguer au Néolithique l’usage des carburants fossiles, ce glory hole mondial où, depuis mars 2020, viennent jouir tous les Young Global Leaders de la secte davosienne.
Eh bien, il semble qu’on discerne désormais mieux ce qui se trouve à l’autre extrémité de ce glory hole : c’est le visage sans dents du britannique qui n’est rien, du « mangeur inutile » qui, dans l’attente peut-être longue de ces lendemains qui chantent, redécouvre, d’après le Telegraph, les vertus vertes et inclusives de la crotte de chat. Ni fossile, ni ignifuge, juste un peu malodorante, et, semble-t-il, de plus en plus chère.
La crotte de chat, nouvelle normalité de l’hiver britannique
Ce prix de la crotte pourrait d’ailleurs encore s’accroître, à mesure que d’autres projets davosiens visent à faire disparaître ces animaux de compagnie décidément trop carnivores et trop pétomanes pour mériter les faveurs de Gaïa. De quoi calmer, derrière leur kleenex faciaux et les petits drapeaux ukrainiens de leur profil Facebook, même les plus enthousiastes des futuristes climatiques.
On avait peut-être négligé de les avertir du fait que le gourou de leur culte, le léniniste Klaus Schwab, est de toute évidence un adepte du précepte ésotérique Ordo ab Chao : c’est du chaos de la crotte de chat brûlée pour ne pas mourir de froid qu’est censé émerger l’ordre nouveau, l’or alchimique de Davos, l’utopie réalisée de la petite Greta et de tonton Klaus. Ou, pour reprendre les termes du maître : « Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur. » (K. Schwab, Covid19 : la Grande Réinitialisation, p. 204).
J’ai été horrifiée quand Trudeau a fait euthanasier les chiens des camionneurs à Ottawa, et quand les autorités chinoises ont embarqué par sacs entiers des animaux de compagnie positifs au covid. Cela participe de la même logique que l’abattage massif d’animaux d’élevage prévu par l’UE… ce qui permettra, je suppose, j’en importer encore plus depuis le bout du monde (Argentine, Chine), tout en promeuvant la consommation d’insectes.
Je suis consciente de toute cette dimension idéologique.
Néanmoins : je vous invite à lire l’article suivant de bout en bout, il oblige à se poser quelques questions pertinentes sur notre rapport (occidental) à l’animal (de compagnie), afin de voir aussi les choses par un autre bout de la lorgnette.
https://greenwashingeconomy.com/animaux-de-compagnie-machine-a-fric-desastre-ecologique/
ça fait des années que je rêve d’utiliser toutes les pouritures, les ordures et tous ces humanoÏdes fruits d’une putréfaction et d’un excrément pour s’en servir de fumier (ce qu’ils sont de leur vivant) pour fertiliser le futur paradis terrestre….en fait ils n’ont rien inventés..