Husson : “Un conscrit ukrainien à Bakhmout survit 4 heures”

L’Ukraine n’est pas réputé pour ses plongées très profondes (en a t’elle besoin en mer noire ?) car plus de 80 m, ce n’est pas juste un niveau 3 qui suffira (…), je crois qu’il faut du matériel extrêmement spécialisé dès les 60 m, des mélanges gazeux (l’azote, 3/4 de l’air est toxique en deçà de 60 m et 66 m pour l’O2 du dernier quart) et de l’entraînement à n’en plus finir… Les paliers doivent être interminables dans des eaux surement agitées… Le fait de manipuler des explosifs limite bien l’affaire aussi. La visibilité, le froid, etc.
Imaginez en plus un accident lors du scénario amateur qu’on tente de nous vendre en ce moment, on ne trouve pas des caissons de décompression à tous les coins de rue… Et si ça s’était fait hors zone d’exercice exclusive, on pourrait imaginer qu’un bateau Russe ou un hélicoptère des pays qui assurent la sécurité de cette zone de fort passage, se soient approchés pour vérifier ce que faisait un bateau de plaisance ancré et juste au-dessus des gazoducs, ne serait-ce que pour sa propre sécurité…

Enfin et même sans transpondeur AIS sur le bateau pouvant donner sa position, j’imagine que la zone est suffisamment sensible et surveillée avec des radars marîtimes. Sans parler des satellites… Aura t’on des images trafiquées à l’appui si un créneau le permet sans se compromettre par rapport à d’autres satellites?

Non sérieusement la zone d’exercice permettait seule l’anonymat et le matériel de secours comme les premiers soins. Et les plongées sur des mines navales une excuse presque parfaite (pas besoin de matériel particulier en revanche).

NB : Eric, ne regardez pas fixement la caméra avec ce regard de tueur, juste des petits aller-retours rapides à la limite pour essayer de rester en contact ! Alors je ne sais pas si c’est le bruit ambiant qui vous dérangeait, car pour nous, le son est parfait.