La réception très « Ancien Régime » de l’eugéniste Charles III, de la Maison de Windsor, par le couple de synthèse Trogneux-Macron, de la Maison de Versailles, amène à reconsidérer cette proposition de J.-M. Apathie qui avait tant fait scandale en son temps.
Qu’on aime ou non le classique lourdingue de Louis XIV – à mon avis plutôt une négation du génie français roman et gothique que son prolongement – est finalement secondaire. Le problème, c’est le symbole : à chaque fois que les lubies pseudo-monarchiques de la 5e République montent à la tête d’un employé de banque originaire d’Amiens et de sa fonctionnaire de First Lady, c’est reparti pour le Grand Siècle !
Alors, oui, peut-être vaudrait-il mieux cautériser à chaud, avant que le macronisme ne devienne héréditaire, via la descendance Trogneux ou par la grâce de la GPA.
Ces sentiments sont d’ailleurs très précisément ceux que le mari de Brigitte cherche à nous inspirer par cette énième provo, dont le but est justement de titiller le sans-culotte sur le nerf, de façon à ce que ses réflexes incendiaires permettent de consolider autour de la Macronie cette bonne vieille bourgeoisie apeurée de tradition, justement, versaillaise. Stratégie de la confrontation, quand tu nous tiens !
Emmanuel et Brigitte : Versailles, ou la France qui se lave
Reste à espérer, pour la réputation du pays, qu’Emmanuel et Brigitte, à l’approche de la réception des Windsor, ne poussent pas trop loin la solidarité hygiénique avec l’Ukraine. Car ces hôtes à l’odorat délicat seront déjà assez incommodés par le bouquet du petit personnel, qui, non content de manquer de dents, pousse, nous dit Elle, le mode de vie euro-ukrainien jusqu’à « espacer les lavages » ou « renoncer à l’achat de déodorant ».
Cette situation tranche avec celle de l’Age classique, époque à laquelle la crasse était l’apanage d’une aristocratie déjà embrigadée par la secte médicale, tandis que les paysans avaient encore des rivières où se baigner après une journée de labeur.
De ce point de vue, on ne peut que saluer comme un réel progrès démocratique l’arrivée du printemps, qui – à supposer que tout ce kitsch ne crame pas d’ici là – permettra au petit personnel versaillais de faire ses ablutions dans les fontaines du château : scènes pittoresques dont Manu, Brigitte et leurs hôtes de qualité ne manqueront pas de se délecter.
Cela me rappelle le voyage à la City de Flamby sitôt élu. Aux moments importants, la City fait le point?…
Même pas. Flamby dépendait encore d’un parti, donc d’une structure de responsabilité – certes pervertie – mais collective. Manu est en roue libre. Il se prend VRAIMENT pour Louis XIV, le petit…
Avec un bémol de taille. Louis le quatorzième réalisa en 1685 le programme EELV de faire vivre la France sans milliardaires en chassant les protestants du pays.
Question descendance (directe) , il semble y avoir comme un ou plusieurs problèmes pour le couple de synthèse.
Vrai européen, comme l’entend sa copine l’allemande Ursula, Mickey, le porte-clefs de Versailles, pour la proclamation de l’empire allemand, le 18 janvier 1871, aurait tenu la porte de la galerie des glaces, à ce bon monsieur de Bismark, qui venait de f..tre une raclée aux Français, Aujourd’hui, c’est à un descendant des Saxe-Cobourg, qu’il tient la porte. Cependant, pour tenir ce rôle de portier dans son film » Si Versailles m’était raconté », Sacha Guitry aurait choisi un meilleur acteur.
Le palais des crasses est donc la source d’inspiration de notre drame de Paris.
Excellent!????
Perso , je prends ce repas royal comme une énième provocation de l’autre Cron, c’est une pure imitation du chemin qu’à choisi louis XVI à l’époque, sans parler des brioches de Jean Michel Brigitte. D’ailleurs , il est où jean Michel ? Mais attention , à ces petits jeux permanent, statistiquement, une défaite est prévisible, un gros revers perceptible. Qui s’y frotte s’y pique et Manu 1er va vite comprendre ce que j’aie voulu expliquer .
Louis du 16ème doit se retourner dans sa tombe en disant : « ce ne fut pas de bon aloi de m’avoir raccourci pour en arriver là ».
Qu’ils mangent de la brioche!
Que les gueux s’en prennent à leurs députés. Ce sont bien ces derniers qui ont refusé de voter les motions de censure et qui ont fait de l’obstruction lors de débats régis par l’article 47 qui en limite la durée.