La « happy hour » du « quoi qu’il en coûte » étant derrière nous, apparaît dorénavant l’autre côté de la pièce. Après cette parenthèse enchantée où l’argent coulait à flots, il nous faut maintenant payer l’addition que nous tendent les « généreux mécènes » qui nous ont secourus. Cela, c’est ce qu’on voudrait nous faire croire.
La réalité diffère quelque peu du récit officiel, dans lequel l’argent de cette dette appartiendrait à des gens qui nous le prêterait et auxquels, naturellement, nous devrions le restituer, toute dette devant être remboursée, suivant l’antienne bien connue. Ce cas, bien qu’existant, concerne uniquement l’argent qui est prêté par un ami ou un parent, qui accepte de dépanner quelqu’un, mais n’a pas grand-chose à voir dans notre affaire.
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Mais pourtant la France est 2 fois plus riche qu’il a 30 ans, et cela se voit : infrastructures énormes, TGV, aéroports, construction de logements neufs partout, parc automobile doublé, voyages, luxe… les années 90 et 2000 ont été fastueuses.
Cette cavalerie budgétaire se perpétue depuis 2008 et rien ne semble la perturber. Les bourses ont effacé en 2 semaines la baisse des valeurs bancaires et financières survenue après les rachats de SVB en Californie et Crédit Suisse à Zurich. Ce Madoff ✖️ Ponzi repose sur la confiance du mougeon et là dessus il n’y a pas d’inquiétude à avoir. Bien au contraire, le mougeon refuse obstinément la défiance depuis des décennies.
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Le pays 2 fois plus riche qu’il y a 30 ans ? Mais la dette est passée dans le même temps de 36 à 115 % du PIB !! Il y a comme un problème.
@Marly Oui. Il y a PIB et PIB. Le PIB à l’ouest est fait d’énormes dépenses croisées, en monnaie de singe, et qui ne payent rien d’exportable.
On peut considérer les injections monétaires gratuites ou la dette comme des injections de drogues également gratuites. Une fois accroc et dépendant, les prix ou les taux montent. Anyway même s’ils ne montaient pas en vous réduisant en esclavage, vous êtes condamnés à la déchéance physique ou aux taux négatifs ou le chaos de la destruction monétaire. Cela ayant déjà lieu dans le passé conduisant à un cheminement façonnant politique, économie et monétaire ainsi que forces sous-jacentes, négociations souterraines et pressions ou corruptions plus ou moins discrètes de la géopolitique mondiale.
Evidemment l’absurdité de la gestion sanitaire est vite oubliée, étouffée dans les débats merdiatiques, comme la conséquence de la crise des subprimes pertinemment mentionnée dans le commentaire précédent. Ce qui est fondamental est submergé par des polémiques de bac à sable.
Il est regrettable, déplorable que les peuples se fassent orienter comme du bétail. Ceci n’est pas la dignité de l’humain.