Il serait fastidieux de récapituler tous les épisodes – d’ailleurs bien documentés par la presse d’enfumage des deux bords – de la valse-hésitation de l’Afrique du Sud et de son président Cyril Ramaphosa entre « l’inculpé Poutine » et la « Cour Pénale Internationale ». Essayons plutôt de raconter l’histoire, vue depuis le monde réel.
Imaginez : vous avez un Great Reset à demi cuit sur le feu, et on vous coupe le gaz sous prétexte qu’à Ottawa, une masse de gueux en a marre de s’injecter du poison sous le prétexte d’une peste noire qui a fait tousser un nonagénaire.
Vieux réflexe, vous revenez alors en safe mode : même s’ils boudent la dépopulation homéopathique, ils reprendront bien un peu de guerre mondiale. La guerre, c’est du sérieux, c’est pour la patrie et contre les « élites satanistes » d’en face.
95% de ladite guerre a, comme d’habitude, lieu uniquement dans des salles de marché et des studios de télévision, mais bon, faut quand même assurer le service minimum de la baston bien sanglante, en l’occurrence confiée au Polygone Ukraine. Côté Russie, ça passe crème : ils envoient au carton les tueurs en série réhabilités de Wagner, et des tchétchènes dont c’est de toute façon le sport national.
Pretoria : faut-il adhérer à l’Asile Psychiatrique International ?
Mais en face ? Le challenge, il est là : motiver des ukro-gueux à aller se faire trouer la peau pour le pianiste Zelensky et les « valeurs européennes » d’Ursula « SMS Queen » von den Leichen. Les choses se corsent.
Du coup, on inventerait n’importe quoi. Pour avoir choqué la sensibilité névrotique des femmes blanches, Vladimir « culture du viol » Poutine sera jugé et pendu, comme à Nuremberg ! Il deviendrait ainsi le premier chef d’Etat de l’histoire humaine condamné par les tribunaux d’autres Etats sans défaite préalable de son armée. Naturellement, personne n’y croit.
Loin de l’Occident et de la Russie, les autres Etats du monde – dont l’Afrique du Sud –, non directement concernés par cette farce étiquetée « guerre mondiale », manquent donc souvent de motivation dans le respect des gestes barrière imposés pour préserver la crédibilité du canular. Manque de motivation illustré, notamment, par les cafouillages de l’administration présidentielle sud-africaine, qui jure fidélité au CPI les jours pairs, et à Poutine les jours impairs.
La CPI est une cour bidon Made in USA tout le monde le sait.
USA qui ne l’ont évidemment pas ratifiée, pas fous!
La cour européenne est ” la cour Sorros”. L’ultra gauchiste milliardaire quiveut détruire les etatspor un gouvernement mondial