A Brasilia, une descente de police au domicile de Jair Bolsonaro aurait permis d’avérer l’usage, par l’ancien président brésilien et sa famille, de « faux passes sanitaires ». Une nouvelle qui, faisant grand bruit, permet d’occulter une fois de plus la vraie question : qu’est-ce qui, dans le covidisme, n’est pas faux ?
Il est tacitement admis, depuis des mois, que le principal argument mobilisé en 2020-21 par l’équipe de com’ du Great Reset en vue de faire passer le pushing pharmaceutique des sérums miracle pour une question morale, voire politique, est nul et non avenu. Non seulement en général, parce qu’il repose sur une théorie de la transmission virale des maladies qui a de fortes chances d’être un mythe médical maintenu en vie par sa profitabilité pharmaceutique, mais même – pour ceux qui gobent encore cette théorie – en l’espèce, les fabricants de sérum ayant entre temps reconnu qu’ils n’avaient même pas, du point de vue de la transmission, testé (et pour cause…) leurs produits avant leur mise sur le marché (et depuis ?).
Par voie de conséquence, toutes les mesures administratives prises à l’époque pour restreindre des libertés civiques en les soumettant à la condition du baptême covidiste injectable reposaient sur une falsification. Leur contournement peut donc légitimement être considéré comme un acte de légitime défense (comme abattre un meurtrier, ou voler des voleurs).
Éviter l’injection, soit. Mais le dire – streng verboten !
En droit, il semblerait donc qu’on reproche à Jair Bolsonaro d’avoir voulu se protéger, lui et sa famille, d’une fraude doublée d’une tentative d’empoisonnement (avec ou sans préméditation).
Oui, mais, le droit, c’était avant. Comme l’ont bien montré aussi les conditions parfaitement folkloriques du retour au pouvoir du socialiste Lula, parler de droit après mars 2020, c’est comme parler d’Empire napoléonien après Waterloo. Comme dans toute théocratie qui se respecte, il est tacitement admis que personne ne croit vraiment que l’idole du Temple ait le pouvoir de faire tomber la pluie, que personne ne respecte vraiment les jeûnes prescrits en vue de la convaincre de faire tomber la pluie – mais que tous doivent faire semblant de croire et de pratiquer. En théocratie, le seul délit impardonnable, c’est le blasphème.
Or Bolsonaro et sa famille, en se rendant aux USA (fermés aux non-piqués par le davosien Biden) après avoir affirmé publiquement leur refus de l’amélioration chimique du génome, ont blasphémé.
Impeccable. Les pro-Lula sont aussi pro-chinois pro-Staline et pro-Pfizer. Escobar et sa clique se fichent du monde etc. Lula veut imposer dix vaxx/an.
Saura-t-on un jour si Jean Lassalle a dit vrai concernant les « des putes et » ainsi que les membres du gouvernement qui n’ont pas subi l’injection ?
Pourra-t-on réclamer un contrôle sanguin pour certifier la présence d’Arnm dans leur petit corps pour la plupart bien dodu ?
Dommage que la justice ne fonctionne que dans un sens…
A en croire les autorités de l’aéroport Ben Gourion, aucun contrôle sanguin n’est nécessaire: il existerait des technologies permettant de scanner la présence de l’injection. Info datant de 2021, si mes souvenirs sont bons…
Ah ! Je n’avais pas entendu parler de ça
Curieux comme procédé
Mais à la limite peu importe ; l’idée restant la même ; dévoiler au grand jour ceux qui ont feint d’être injecté de ceux qui l’ont vraiment fait (je parle des élus et des politiques qui se sont permis de faire la leçon aux autres)
Cela pourrait être intéressant également de faire le contrôle chez les soignants qui se sont permis de faire de la sélection entre les patients