Se réjouissant bruyamment de l’adhésion de son Eurogoulag à la Convention d’Istanbul, la kleptocrate Ursula « SMS » von der Leyen l’affirme haut et fort : « L’Europe se tient aux côtés des femmes ».
Elle reprend ainsi la tournure (stand with) dont la version occidentale de la propagande de pseudo-guerre mondiale nous bassine depuis des mois, avec « Ukraine » en lieu et place de « femmes ». Tout le monde aura compris que, dans l’eschatologie sataniste des femmes blanches en cours de formulation, l’Ukraine de Pianobite est l’incarnation d’une sorte de principe féminin et victimaire qui, à force de chialantes télévisées et de bataillons d’assaut LGBT, doit à tout prix vaincre un Vladimir Poutine incarnant la « culture du viol » de l’odieux mâle blanc. Tâche dont ledit Poutine (qui roule en réalité pour les Princes rouges de Pékin) s’acquitte à son corps défendant, mais non sans talent.
Il faut dire que cette adhésion de l’UE à la Convention d’Istanbul est, effectivement, un grand moment, qui marque la victoire définitive de Rousseau et de Kant sur Hegel : le basculement final de l’Occident des Lumières dans l’irrationnalisme.
Et demain, « les personnes » seront rasé.e.s gratis !
Evacuant les notions périmées d’« acte » et « d’intention », la Convention d’Istanbul ouvre officiellement la voie à une justice de la rééducation et de la punition collective, pour laquelle l’appartenance du malfaiteur et de la victime à telle ou telle « communauté » non-civique l’emportera sur la pesée des responsabilités individuelles. Le mâle, comme le Russe, est coupable de naissance, car sa masculinité toxique et son racisme aggravent le changement climatique. Serait-on donc revenu à la case « IIIe Reich » ?
Pas tout à fait : à ceux qui accuseraient ce système de biologisme, on rappellera que tout détenteur de chromosome Y peut à tout moment s’identifier à la communauté imaginaires des femmes, à condition de se revendiquer dilaté comme jamais.
On a donc bien à faire à une religion, dont les promesses millénaristes ne cherchent d’ailleurs plus vraiment à se dissimuler : « éliminer toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles » ! Le tic linguistique absurde « femmes et filles », généralement associé aux autres tics du moment (« Kyïv », « Türkiye » etc.), trahit d’ailleurs une véritable ritualisation du langage.
Oui bien sûr mais kess kon san fou. ????????
convention d’Istanboul ? approuvée par le sultan réélu ?