Olaf Scholz souhaite « déchaîner » l’économie à l’aide de nombreuses lois, Robert Habeck va réduire les capacités industrielles, voire les fermer, afin d’économiser de l’énergie l’hiver prochain. Pendant que la politique trébuche, les entreprises allemandes délocalisent leur production à l’étranger ou la vendent tout simplement – comme récemment le fabricant de chauffage Viessmann. L’Allemagne mène actuellement, en étroite collaboration avec la Commission de Bruxelles, une politique économique qui la conduit tout droit vers une crise vraiment profonde. Tous les pays dont l’économie est étroitement liée à l’Allemagne sont entraînés dans cette voie.
L’Allemagne est entrée en récession. Le produit intérieur brut s’est contracté de 0,5 et 0,3 % au cours des deux derniers trimestres. Les politiques et les médias expliquent frénétiquement que le ralentissement des dépenses de consommation en serait la cause. S’y ajouteraient les prix élevés de l’énergie et la politique des taux directeurs de la BCE. Les taux d’intérêt devraient pourtant augmenter pour freiner l’inflation, mais cela aurait également des conséquences négatives pour l’économie. Et ainsi de suite. Il est toutefois étrange que personne ne parle des effets des sanctions économiques. On fait comme si elles n’existaient pas.
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