Sommes-nous condamnés à l’éternel retour des vieilles lunes gauchistes sur le capitalisme ? Yves-Marie Adeline revient sur un livre de l’historien Johann Chapoutot, qui veut à tout prix faire du management moderne le fils du nazisme. Étonnante ignorance d’Edward Bernays mais aussi de l’histoire allemande antérieure au nazisme.
Monsieur Chapoutot, professeur d’histoire à la Sorbonne, est l’auteur d’une thèse hardie sur les supposées racines national-socialistes du management. Son travail, intitulé Libres d’obéir : le management, du nazisme à aujourd’hui, a fait l’objet d’une publicité bienveillante, dans des milieux où la rigueur scientifique n’est pas nécessaire, mais où l’imaginaire est propice aux engouements naïfs de toutes sortes.
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1/ Le nazisme recyclé par les USA dans l’aérospatiale et le renseignement 2/ et le marxisme encore bien vivant dans l’université française et encore plus dans la fonction publique française sont comme tous les totalitarismes les rejetons de la révolution française.
Je suis beaucoup frappé par le fait que l’on parle tout le temps de la gauche – la gauche a fait ci, elle a fait ça, elle pense ci, elle pense ça, elle est dans tel état d’âme en ce moment, va-t-elle s’en sortir – alors que « ces gens » se sont toujours trompés sur tout. Y a-t-il quelqu’un dans la salle pour m’expliquer ce paradoxe ? La gauche pense de travers, la gauche nous entraîne dans le gouffre, le reste est littérature.
C’est peut-être parce que parler de gauche pour des personnes ou partis politiques ne veut strictement rien dire
Pour les esprits simples ça permet de mettre des carrés dans des carrés comme un jouet en bois pour les 3-6 ans mais au final ça ne dit rien des personnes ou partis soi-disant de gauche ; un terme ramasse tout et fourre tout qui n’a aucun sens
De la même manière que l’on traite tout complotiste d’extrême droite
Du bla bla qui endort les gens