Le député RN Kevin Mauvieux a rédigé un rapport d’information sur les obligations assimilables du Trésor indexées sur l’inflation (OATI). Nous l’avons interrogé sur ce sujet en apparence très technique, mais au centre d’une possible crise budgétaire systémique : l’envolée de l’inflation alourdit le fardeau de la dette et étrangle les finances publiques. Pourquoi l’État continue-t-il à emprunter de cette façon, alors que l’inflation est orientée à la hausse ? Quelles solutions durables pouvons-nous apporter à la question de la dette publique ? Nous avons posé ces questions lors d’une interview où Kevin Mauvieux a fait tomber tous les tabous : loi de 73, Frexit, réduction des dépenses de l’État, le député Mauvieux a rendu cash à toutes nos questions.
Le député Kevin Mauvieux (Eure) est désormais devenu l’un des spécialistes de l’emprunt d’État indexé sur l’inflation. Il se demande pour quelle raison les emprunts à taux variable sont apparus en 1998, et pour quelle raison l’État continue à les utiliser chaque jeudi pour emprunter sur les marchés. Les variations de taux ont probablement occasionné une perte de 12 milliards, pour le contribuable, en 2022.
Cet entretien a permis d’évoquer les stratégies possibles du Rassemblement National en matière de réduction de la dette, au cas où il accèderait au pouvoir.
M. Mauvieux semble ignorer que nos gouvernants ne sont pas libres… la faute en particulier à la dette. Et le RN au pouvoir ne ferait pas mieux.
Des De Gaulle ou Poutine avaient bien compris que la souveraineté est impossible avec une dette importante et des déficits croissants.
Étant donné qu’un peuple immature politiquement votera toujours pour davantage de dépenses (virus marxiste: à chacun ses besoins… qui peuvent être infinis!), la démocratie devrait s’accompagner d’une interdiction constitutionnelle des déficits.
Le peuple ne vote rien du tout
Les élections sont truquées
A partir du moment où certains n’ont pas de parrainage pour des raisons bien connues les élections ne sont plus en mesure de remplir leurs rôles au sein d’une soit disant démocratie
Quand les assiettes seront vides le bon sens reviendra vite pour sortir les fourches mais cela n’arrivera pas avant 2-3 voire 4 générations d’appauvrissement lent mais certain ; il reste encore assez d’argent à ponctionner dans les classes moyennes pour les essorer et distribuer de l’assistanat et de la « paix » sociale pour un long très long moment
Pour les impatients il est préférable de partir
Pour les autres il faut être réaliste et utiliser le système à son avantage afin de limiter la casse