Si l’attention des analystes et journalistes s’est focalisée, à juste titre, sur l’extension des membres du bloc et sur la dédollarisation, d’autres sujets pouvaient occuper les esprits parmi les participants. En fait, au-delà des déclarations officielles, il convient de s’interroger sur l’impact à moyen terme de l’élargissement des BRICS et des initiatives collectives qui peuvent être engagées pour un autre monde. La question climatique est certainement un élément à prendre en considération dans ce cadre, ne serait-ce que parce que c’est un paramètre qui joue désormais dans les échanges commerciaux. A cet égard, l’on doit se souvenir des critiques virulentes apportées à la Chine sur son niveau de pollution, notamment en 2009 lors de la COP 15. C’est cette interrogation sur l’approche climatique des BRICS qui intéresse l’ISS Pretoria, à l’issue du sommet de Johannesburg, en la personne de Dhesigen Naidoo, associé de recherche principal : les BRICS pourraient-ils être le catalyseur d’une nouvelle alliance mondiale pour proposer des solutions à la crise climatique mondiale ?
Cet article initialement publié sur le site issafrica.org n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Alors que le monde se remet des catastrophes climatiques et que les négociations multilatérales sur le changement climatique ont peu progressé, il est temps de forger de nouvelles alliances pour accélérer les réponses et les investissements, réduire les risques climatiques et accroître la sécurité humaine.
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Bizarre cette alliance qui se pose en contrepoint de l’Occident décadent et qui reprend une de ses impostures…
La bonne nouvelle, Jim Skea le nouveau président du GIEC a déclaré : « il ne faut pas exagérer la menace de la hausse de 1,5 degré de température » le début de la fin de l’imposture ??