Alors même qu’en 2020 il s’instituait médecin pour constater de la « mortalité covidienne », l’INSEE, constatant une nouvelle aggravation de la dénatalité française en 2023, se garde soigneusement de formuler la moindre hypothèse causale. Par défaut, il faudra probablement incriminer « le changement climatique », c’est-à-dire la météo, qui perturbe l’itinéraire migratoire des cigognes.
Certes, le phénomène, déjà ancien, ne date pas de 2021. Et il est bien entendu que, quand il s’agit d’expliquer pourquoi des occidentaux, en 2023, choisiraient de ne pas procréer, on est plutôt confronté à l’embarras du choix – entre aggravation du cancer féministe et effets psychologiques du Great Reset : curieusement, l’animal humain semble rétif à se reproduire dans cette captivité verte et inclusive que lui promet le philanthrope Schwab, avec ses smart cities et son abolition de la propriété privée.
Mais certains détails du dernier communiqué de l’INSEE, néanmoins, laissent songeur. A supposer qu’on suppose une corrélation stricte entre dénatalité et vieillissement (et donc entre natalité résiduelle et zones de forte immigration extra-européenne), n’est-il pas surprenant que le phénomène soit plus accentué en PACA (-8,1%) que dans les très vieillissants Pays de la Loire (-7,3%) ? Certains jeunes couples marseillais progressistes (voire « racisés » !) auraient pu commettre une erreur que beaucoup de couples vendéens complotistes n’ont pas commise ? Mais LAQUELLE ?
Sur le bénéfice du doute, on vit combien de temps ?
L’INSEE ne propose, bien évidemment, aucune comparaison avec la géographie des injections, mais ne parvient pas à occulter le fait que le décrochage des DOM (notoirement covidosceptiques) est bien moins marqué que celui de la métropole.
Quant à ceux qui s’imaginent les familles comme des machines à sous (introduisez de la subvention, il en sort des bébés), on leur fera remarquer que le phénomène affecte aussi gravement des pays pratiquant ce qu’il est convenu d’appeler des politiques natalistes agressives (Hongrie, Russie).
Et que certains de ces pays (comme la Russie) ont, de plus, été relativement épargnés par la récession qui fait rage en Europe – par la récession, mais pas par la dénatalité (et ce, dès avant le début des mobilisations), ni par les thérapies géniques – Spoutnik V reposant, de l’aveu même de son « parrain » Gintsburg, sur la même technologie génique qu’Astra Zeneca).
Beaucoup de diagnostics possibles, donc, et un seul remède : se débarrasser de Davos.
la où je suis, augmentation du décés des nouveau-nés
Peut-être que l’INSEE pourrait échanger avec les Allemands?
https://reseauinternational.net/baisse-de-la-natalite-et-vaccination-liens-possibles/
Dans la longue liste des causes de la dénatalité occidentale il y a : 1/l’état providence. ( pourquoi avoir des enfants si l’état pourvoit à notre retraite ? ) 2/ l’hédonisme de la contraception 3/ l’IVG de VGE 4/ le carriérisme des féministes 5/ l’ecoanxiete « c’est la fin du monde à quoi bon se reproduire. » 6/ les dysménorrhées post vaccin anti Covid, Bill Gates et le WEF veulent baisser la population mondiale. 7/ monsieur Schwartz nous explique que le vol des cigognes est détournée par le réchauffement climatique, c’est une thèse typiquement alsacienne.
C’est évident, les soucis d’orientation des cigognes. Les éoliennes, la pollution et autre réchauffmik, sûrement !