Décidément, les forces qui composent le « gouvernement profond mondial » ont du mal à accepter que l’on échappe à leur dictat. Peu importe la volonté du peuple : celui-ci doit rester soumis, et les mesures limitant les libertés prolifèrent çà et là, assorties de sanctions de plus en plus coercitives. À titre d’exemple, le Canada vient d’obliger l’intellectuel Jordan Peterson à se « rééduquer » pour avoir contredit l’idéologie du genre… Et en Grande-Bretagne, le gouvernement impose des amendes, voire des peines de prison d’un an aux propriétaires ne respectant pas les normes de neutralité carbone ! « A bon entendeur, salut ». Et gare aux personnalités politiques qui voudraient expérimenter d’autres systèmes que celui imposé par le néolibéralisme financier, même si l’élu à pour lui la légitimité conférée par le vote démocratique. C’est ce qui semble se préparer en Argentine où Javier Milei est désormais la cible de The Economist. Le site KontraInfo en fait l’analyse.
Cet article initialement publié sur le site noticiasholisticas.com.ar n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Le journal britannique historique The Economist – propriété des familles Rothschild et Agnelli – a défini le candidat présidentiel de « La Libertad Avanza », Javier Milei, comme « un danger pour la démocratie argentine ». Ce jugement sous forme d’admonestation rejoint les critiques sévères que la publication a adressé en son temps à Jair Bolsonaro et à Donald Trump, deux personnalités politiques sur lesquelles le candidat argentin s’est aligné.
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L’accusation de “complotisme” ou de “scepticisme climatiste” fonctionnerait plutôt comme un brevet de “bon sens”…. même dans le cas d’un “excentrique énervé”.
Quant à dénoncer les possibles tendances à l’autoritarisme des Trump, Bolsonaro, ou Milei, on a des points de référence bien réels dans nos “démocraties libérales” conduites par des gamins malpolis et des vieillards seniles…
Là c’est juste un avertissement avant de sortir leurs nouvelles panoplies d’armes de dissuasion climatiques ou sismiques. Les 5% à 10% de dominion ne suffiront plus face à un peuple qui n’a plus rien à perdre.
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Toute personne qui est ” un danger pour la démocratie” doit être écoutée attentivement.
Si les gouvernants autoritaires sont des gens frustrés, l’Occident est intégralement dirigé par des frustrés. Un de plus, un de moins…