Après l’Assemblée générale de l’ONU à New York, il est clair que l’Allemagne est le principal allié de l’Ukraine en Europe. Zelensky peut compter – tout comme le président américain Joe Biden – sur le fait que l’Allemagne fera tout pour mettre en œuvre l’agenda transatlantique. Scholz et Zelensky ont d’ailleurs été récompensés pour cela par le Global Citizen Award de l’Atlantic Council. L’Allemagne en paie le prix fort : politiquement et économiquement. L’espoir d’un changement d’attitude est faible. Car n’oublions pas que l’Allemagne est un pays occupé.
Pour le chancelier allemand, il s’agissait d’un “point culminant de la diplomatie internationale” lorsque les représentants des 193 États des Nations unies se sont réunis à New York pour l’Assemblée générale des Nations unies. Avant même le début de la réunion, il avait été souligné que la République fédérale d’Allemagne et la République démocratique allemande avaient adhéré aux Nations unies il y a 50 ans et que cette rencontre devait donc être considérée comme historique, du moins du point de vue allemand.
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