L’Allemagne du Chancelier Scholz est en chute libre économique et en situation de grand affaiblissement politique. Les chiffres de la récession nous le confirment ces derniers mois. Et les élections partielles de Hesse et Bavière le dimanche 8 octobre devraient rendre visible l’effondrement politique interne du pays. La France pourrait en profiter, économiquement et politiquement. Mais comment faire avec une caste dirigeante française qui, au fond d’elle, n’accepte pas la mort du (mythique) “couple franco-allemand” ?
Dès le printemps 1963, après que le Bundestag, le Parlement de la République Fédérale d’Allemagne, avait ajouté un préambule OTANien au Traité de l’Élysée, Charles de Gaulle avait tourné la page de l’amitié politique étroite entre la France et l’Allemagne. Le Général savait que les députés d’Allemagne de l’Ouest avaient agi à l’instigation de Jean Monnet (ennemi du chef de la Résistance française depuis l’appel du 18 juin) sur instruction du président américain Kennedy. Il était temps pour la France de développer seule une politique étrangère d’indépendance.
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la France est sous la coupe de la BCE (pour acheter sa dette) qui est gouvernée par les allemands.
Dans les faits il me semble que la France n’est absolument pas gouvernée par des Français.
Qu’ils soient politiques ou non, ceux qui sont aux postes stratégiques de commandes se laissent portés par les vœux d’étrangers à notre Histoire millénaire et nous souffrons depuis longtemps déjà. Voire, depuis Mitterrand qui a initié cette mondialisation aidé en cela par les Mauroy, Fabius et Cie.
Cent fois trahie par l’Allemagne, la France (son représentant) persiste à en faire son alliée.
Il est dommage que nous soyons punis par celle qui a précipité la situation actuelle des Français dans une profonde déprime à cause des taux qui leur sont imposés – à tous les nivaux de leur vie – par faute de cette alliance avec la Russie de Poutine qu’ils ont toujours connue.
L’Allemagne est un poison pour la France et pour tous les pays de l’Europe qui se plient à ses diktats.
Bien sûr, il faut s’en sortir et vite. Je prêche pour un Frexit rapide.
L’emprise de Washington sur Berlin ne date pas d’aujourd’hui, ce qui est remarquable, c’est que l’emprise de washington s’accroit parallélement au recul de l’influence française, cela souligne combien ces deux faits sont liés, Washington a empêché tout rapprochement franco allemand qui aurait abouti à une Europe Indépendante, au contraire il a fauit de Berlin son servile supllétif, l’humiliant avec Nordstream 2, pour lui faire comprndre qui était le plus fort.
Washington sous estime le peuple allemand et en particulier celui de l’ex-allemagne victime d’un apartheid social et culturel mais aussi le pacifisme des allemands de l’ouest, chaque semaine le peuple allemand descend dans la rue pour exiger l’arrêt des livraisons d’Arme à Kiev et d’une aide dont le peuple aurait tant besoin. Car les inégalités se creusent en allemagne. Le modèle Rhénan est mort, c’était le but de mondialisation anglosaxonne, pas de capitalisme Rhénan et de modèle social qui aurait fait de l’ombre à la mondialisation anglosaxonne, son capitalisme intégral mettant fin au partage des profits entre salariés et actionnaires.
Cette montée des inégalités est le talon d’achille du capitalisme anglosaxon avec le recul de la démocratie, il ne faut jamais oublier que le laboratoire de la mondialisation anglosaxonne fut le Chili de Pinochet.,!
Il est clair que les allemands entraineront la France dans leur chute économique afin de conserver leur suprématie. La grande amitié franco-allemande est toujours debout et identique, avec macron l’immature rien ne changera !
C’est drôle ce que je lis des commentaires sur ce site que j’aime consulter par la qualité de ses articles.
Le mot merveilleux – extraordinaire et magnifique solution qui revient comme un leitmotiv =
FREXIT !
C’est bizarre car lorsque j’étais sur les ronds points en 2018 et que nous évoquions ce sujet nous nous sommes fait traités de moins que rien voire pire que cela …
Les temps changent, n’est il pas ?