Alors que la justice américaine se mobilise pour tenter d’empêcher Trump de se représenter à l’élection présidentielle de 2024, l’on est bien obligé de constater qu’il existe aux États-Unis un deux poids, deux mesures. Une situation somme toute assez similaire en France où nombre de proches du gouvernement actuel semblent épargnés. Alors que certains opposants ou ex-personnalités politiques, notamment de droite, font l’objet de beaucoup d’attentions si ce n’est de persécutions. D’ailleurs, en censurant l’article 385 du Code de procédure pénale, la récente décision du Conseil constitutionnel a montré que le traitement de l’affaire Fillon était pour le moins discutable sur la forme. D’où la question d’une justice instrumentalisée et ce qui en découle, l’existence d’un « gouvernement profond », avec des mesures de protection qui entourent certains de leurs membres, souvent de façon violente. Ainsi, si l’on regarde du côté du clan Clinton aux États-Unis par exemple, l’on dénombre pas moins d’une cinquantaine de personnes décédées (avocats, gardes du corps, journalistes, proches collaborateurs…) souvent dans des conditions mystérieuses. Toutes possédaient des informations pour le moins sensibles ou dangereuses pour le clan.
Cet article initialement publié sur le site topwar.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Dans le dernier épisode de l’émission russe « Besogon », l’animateur, Nikita Mikhalkov, réfléchit à ce qu’on appelle communément la « responsabilité mutuelle », souvent décrite par le concept « vous n’avez pas besoin de laver le linge sale en public ». À titre d’exemple, il cite de nombreux faits de décès étranges de ceux qui étaient, d’une manière ou d’une autre, membres de l’influent clan américain Clinton.
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Dans un autre genre (encore que…), le livre de Philippe Aimar “Enquête sur un virus, Covid-19”, s’ouvre par une liste de personnes, en lien avec la médecine ou la recherche médicale, décédées dans les mois précédant la “pandémie”. Dont Kary Mullis, l’inventeur de la PCR…
Ne rater pas la suite, un travail en profondeur, du journalisme à l’ancienne…
Oui le cas du prix Nobel découvreur du test PCR décédé à 74 ans d’une pneumopathie en 2019 est étonnant ?? Il avait eu le malheur de déclarer qu’il ne fallait pas faire de test PCR de dépistage en population générale car cela donnait trop de faux positifs, il ne faut faire de tests PCR que pour les malades symptomatiques pour identifier le coronavirus. En l’absence de tests l’OMS ne pouvaient plus affoler la population, et les gens préféraient être vaccinés pour se déplacer que de subir l’ecouvillon
Le cuisinier de barack Obama a été retrouvé noyé dans un étang à côté de la villa Obama au début de l’été, c’est étonnant pour un grand sportif surfeur, mais qui avait le tort d’avoir des oreilles,