Le conflit entre Israël et le Hamas a ouvert de nouvelles perspectives par rapport à la situation en Ukraine. Mais la probabilité que les évènements à venir soient favorables à la Russie est loin d’être assurée à 100 %. Il ne faut pas croire qu’un violent conflit militaire soit l’état naturel de l’humanité. Mais force est de constater que dans un passé récent, nous avons tous été témoins de l’inversion de plusieurs décennies de réchauffement des relations entre la Russie et l’Occident, notamment parce que cet Occident a voulu, pour faire une métaphore, « acquérir 100 % des actions de la société par actions Ukraine ». Désormais cependant, quelque chose de similaire – et peut-être même de bien plus terrible – commence au Moyen-Orient.
Cet article initialement publié sur le site mk.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
En février de cette année, donc il y a huit mois, deux remarquables orientalistes russes – l’académicien de l’Académie des sciences de Russie, Vitaly Naumkin, et son collègue, Vasily Kuznetsov – ont préparé un rapport spécial sur la situation dans la région avec le constat suivant :
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L’avenir est envisageable selon bien des systèmes de pensée…mais il demeure imprévisible.
Imaginons que l’avenir soit prévisible notre vie serait bien ennuyeuse, la seule évidence est notre finitude qui a le mérite de nous éviter l’éternité. C’est le principe du suspense.
La seul raison de ce nouveau bain de sang est que dieu a soif de sang….