L’Allemagne et l’Autriche officielles sont choquées : depuis que les armes parlent dans la bande de Gaza, le nombre de manifestations anti-israéliennes augmente, tout comme celui des attaques contre les institutions israéliennes. Eh bien, ces deux pays ne sont certainement pas les seuls dans cette affaire. Mais la « responsabilité historique particulière » empêche la politique de traiter – de manière adéquate – une forme d’antisémitisme qui ne peut être combattue par la « culture du souvenir ». Le refus systématique d’aborder ce sujet conduit à une paralysie sociopolitique qui arrive au mauvais moment. Quiconque observe la scène d’un œil critique le sait : l’Allemagne et l’Autriche sont au bord du gouffre. Quelle est la goutte d’eau qui fait déborder le vase ?
Des drapeaux israéliens ont récemment été arrachés dans plusieurs villes autrichiennes. Les auteurs, souvent des jeunes d’origine musulmane, se filment et diffusent les vidéos sur les médias sociaux. L’Autriche officielle perd sa contenance : le président fédéral Alexander van der Bellen peine à trouver ses mots : il espère que les jeunes auteurs n’étaient pas conscients de ce qu’ils faisaient.
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L’Allemagne et l’Autriche, entre autres, feraient bien de s’apprêter à recevoir les Israélites qui vont bientôt quitter la Palestine, comme le prédit l’Exode dans les Écritures.