Si Élisabeth Borne a déclenché le 49-3 sur le volet “dépenses” du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2024, elle a quand même laissé prospérer la discussion sur trois articles qui ont été adoptés, dont l’un concernant le financement de la campagne de vaccination contre le papillomavirus. On se souvient qu’Emmanuel Macron a annoncé le lancement de cette campagne dans les collèges à partir d’octobre. La sécurité sociale achètera donc massivement du Gardasyl pour que les collégiennes puissent recevoir gratuitement leur injection. Voilà une bataille qui ne manquera pas de réanimer quelques oppositions tenaces.
On connaît le tropisme vaccinal du gouvernement, qui compte quelques fers de lance de cette idéologie baptismal. Après avoir refourgué massivement des vaccins Pfizer contre le COVID, au besoin en clivant les Français (on se souvient qu’Emmanuel Macron revendiquait de “vouloir emmerder les non-vaccinés”) – stratégie qui a fini d’atomiser la communauté nationale et rend le pays ingouvernable, Macron a annoncé une vaste campagne de vaccination au Gardasil, le vaccin controversé contre le papillomavirus, maladie sexuellement transmissible responsable de certains cancers du col de l’utérus. Cette campagne vise à vacciner les collégiennes dès leurs 11 ans.
Cette campagne fonctionne selon le principe du nudge : elle n’est pas obligatoire, mais elle est fortement recommandée par les pouvoirs publics.
L’Assemblée Nationale a donc trouvé le temps d’adopter de façon consensuelle un article finançant cette dépense de l’État, hier.
Voilà qui suscitera probablement quelques réactions dans un contexte électrique. Longtemps, le Japon a été le seul pays industrialisé à ne pas recommander le Gardasil. Mais, début 2022, il s’est rallié à la majorité des recommandations internationales. Cette unanimité pour le vaccin fabriqué par Merck n’empêche pas une forte contestation d’exister. On relèvera en particulier les doutes qui existent sur la corrélation statistique entre baisse des cancers du col de l’utérus et vaccination au Gardasil.
il me semble qu’il y a un procès en cours contre Merck aux USA de la part de 600 familles…
Il n’y a aucune efficacité et les effets secondaires graves sont cachés. Quelle surprise !
Pour comprendre la perversité de la méthode, valable pour tous les vaccins, il faut lire un pavé intitulé “Des tortues jusqu’en bas, Vaccins Science et Mythe”. Ecrit en 2019 par des auteurs israéliens anonymes pour empêcher tout dénigrement ad hominen et favoriser le débat scientifique si besoin. Aucun procès à ce jour. Sources très nombreuses déportées sur internet sur le site de l’éditeur Marco Pietteur, sans quoi le bouquin serait bien trop lourd. Traduction française 2023. Épais mais facile à lire. Les médecins ne soupçonnent pas le quart de la moitié des mauvaises pratiques généralisées autour des vaccins. Les procédures accélérées de mise sur le marché quasi systématiques aujourd’hui augmentent les complications chez les patients.
Concernant le vaccin contre le HPV en particulier, il faut comprendre qu’il existe une centaine de souches distinctes qui vivent naturellement en chacun de nous. Détruire quelques souches, les moins dangereuses en l’occurrence et soignables par medocs, permet la prolifération de souches agressives qui provoquent des cancers.
De surcroit, le labo a ajouté un adjuvent d’aluminium nouveau en terme moléculaire sans rien dire. C’était le placebo. Des recherches indépendantes ont révélé cette substance et une étude in vivo sur l’adjuvent seul contre placebo neutre sur un troupeau de moutons a mis en évidence de graves conséquences sur la santé des bêtes.
Conclusion, la médecine n’a pas fait mieux que la surveillance régulière par frottis/analyse biologique pour lutter contre le cancer de l’utérus.
A bon entendeur.
Très juste : non-seulement ce vaccin est inefficace mais il provoque plus de cancers qu’il n’en prévient sans compter les effets secondaires invalidants en particulier sur le système neurologique! Une honte d’inciter les jeunes à se faire injecter ce produit dangereux promu par un laboratoire déjà souvent condamné suite à des scandales sanitaires. Ceci est aberrant après avoir incité la population à se faire injecter en phase expérimentale III le produit génique Pfizer et Moderna pour le Sars-Cov-2 dont on constate tous les jours la nocivité et la totale inefficacité!
Cette campagne de vaccination cible tous les collégiens de 5e : filles et garçons. Ainsi que le souligne le Dr Nicole Delépine, non seulement les cas de cancers du col de l’utérus n’ont pas baissé depuis l’introduction de la vaccination, mais ils ont même augmenté. Notamment du fait d’un moindre dépistage par frottis, les femmes se croyant à tort protégées par le vaccin. Et ne parlons pas des effets toxiques de cette soupe. Bravo, les parlementaires. Comme d’habitude, ils ont tout compris !
On peut imaginer que les “influenceurs” des décideurs des politiques douteuses de santé mondiale de l’OMS sont les mêmes que ceux de l’OTAN et du FMI pour d’autres politiques où la vie humaine n’est que chiffres et statistiques et où le mot santé ne correspond pas à la sémantique mais à des objectifs qui ne correspondent pas non plus aux termes grandiôses mis en vitrine.
La confiance est pour ces psychopathes une serpillère qu’il faut user et abuser.
https://www.xavier-bazin.fr/apres-la-mort-dun-collegien-suite-au-gardasil-il-est-urgent-de-stopper-la-campagne-de-vaccination-a-lecole/#suite
Il n’y a pas à hésiter : tout ce que disent les ministres et autres autorités de la santé et leurs médecins médiatiques serviles est à considérer d’emblée comme DOUTEUX voire FAUX et peut-être malintentionné…