Les négociations sur la loi sur la liberté des médias sont une grande mise en scène entre la Commission, le Conseil et le Parlement. Avec ce geste presque pathétique, on veut donner aux Européens l’impression que l’influence de l’État et la propagande ne doivent pas avoir de place dans le paysage médiatique et que, d’autre part, le paysage médiatique doit être protégé de la concurrence des grandes plates-formes en ligne. Qui en profite ? En premier lieu ; les grandes agences de presse, car elles distribuent deux tiers de tous les textes, images, graphiques, vidéos ou blogs sous forme de produits finis. Les acteurs médiatiques hégémoniques comme AP, AFP, Reuters ou dpa veulent assurer leur monopole d’opinion « basé sur les faits » et avec le soutien de l’IA. Les bureaucrates de Bruxelles sont les complices dociles de ce projet.
De grands discours sont prononcés en préparation de la loi sur la liberté des médias. La commissaire européenne Věra Jourová aime à rappeler sa propre expérience à l’époque du socialisme en Tchécoslovaquie et souhaite donc « mettre en place un filet de sécurité européen pour que les médias puissent remplir leur rôle important dans la démocratie ». L’influence de l’État sur les chaînes publiques en Hongrie et en Pologne dérange depuis longtemps les gardiens de l’ordre bruxellois. Le magazine Politico espère que « le nouveau règlement (…) pourrait (être) une épine dans le pied du chef du gouvernement hongrois Viktor Orbán, dont le parti Fidesz a pris de facto le contrôle de 80% des médias du pays ».
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L’influence de l’Etat sur les médias ne gêne que si cet Etat défend son peuple…
Un Etat qui n’existe plus vraiment, sauf comme courroie de transmission de l’UE, voilà l’idéal bruxellois…
Au fait, quand a-t-on expliqué clairement aux populations qu’elles devraient se soumettre à des lois qui n’auraient pas été décidées et votées au niveau national?
L’agence TASS ne serait pas en mesure de fournir « des informations impartiales » et l’Associated press, Reuters et l’AFP seraient capable de les fournir ? L’objectivité et la neutralité n’a jamais existé et n’existe pas dans l’esprit humain, la seule garantie de l’information c’est la PLURALITÉ et l’INDEPENDANCE des médias tout le reste est grossière censure totalitaire.
En matiere d objectivité mediatique , d etat, ou de connivence objective , un exemple de 1962 dans des heures graves où le gouvernement français etait a l acme du repressif ,avec ordre en haut lieu : VOILA LA REFERENCE de LA PRESSE FRANCAISE
le Monde du 28 MARS 1962
https://www.lemonde.fr/archives/article/1962/03/28/le-prefet-de-police-d-alger-des-commandos-de-l-o-a-s-ont-tire-sur-le-service-d-ordre-et-sur-les-manifestants_2346560_1819218.html
« L histoire se repete d abord comme une tragedie et puis comme comme une farce « quel farceur ce Karl ! Je prefere nettement GROUCHO .
Cette directive sert les intérêts étrangers dont chacun peut constater l’influence sur les médias, encore une fois Bruxelles fait semblant de protéger les peuples mais protège les influencxes déterminantes de Washington et ses alliés de Kiev, Washington sans oublier Bruxelles et l’OTAN.
En fait cette loi peremt de faire de la propagande de Washington et des ses vassaux nos gouvernements la vérité officielle , qu’ilo est interdit de contester sous peine d’être traité de complotiste, ou de soutien aux terroristes et autres criminelles de guerre. Bienvenue à Orwell.
De plus au nom de quoi Bruxelles e-t-il le droit de légiférer sur une question qui concerne nos pays, leurs assemblées democratiquement élues,
Le beau rôle est donné aux USA avec Reuter et AP et secondairement à leurs serviteurs l’Allemagne avec DPA et la France avec APF. L’information sur le reste du monde n’existe pas localement. C’est le grand global reset de la media-presse.