L’affaire passe à peu près sous les radars de l’actualité, mais elle est pourtant essentielle (même si elle ennuie considérablement le public). Bruno Le Maire se livre à une intense activité diplomatique pour obtenir une révision du pacte européen de stabilité et de croissance qui n’oblige pas à réduire sa dette trop vite. Problème : les Allemands ne se laissent pas faire, et aimeraient bien conserver des dispositions un peu contraignantes pour empêcher le grand n’importe quoi tel que les Italiens et les Français le pratiquent. En particulier, il s’agit de ne pas inscrire dans les textes le rythme auquel les pays dont le déficit dépasse 3% doivent réduire leur déficit.
Bruno Le Maire terrassera-t-il le dragon allemand, son homologue Christian Lindner, bien décidé à imposer des critères quantitatifs dans le futur pacte de stabilité et de croissance que l’Union européenne renégocie depuis plusieurs mois, et dont la négociation arrive dans la phase terminale ? On se souvient que, depuis la crise du COVID et l’explosion des dettes publiques, certains pays comme la France critiquent vertement le Pacte tel qu’il existe, et considèrent que les règles doivent être aménagées pour mieux tenir compte des situations nationales.
Selon toute vraisemblance, donc, la négociation devrait abandonner ses critères automatiques antérieurs, comme les 3% de déficit public et les 60% de dette publique. Mais les pays dits radins devraient pouvoir compter sur l’Allemagne pour introduire des mécanismes de réduction minimum du déficit en cas de relâchement (comme c’est le cas en France).
On attend avec impatience le résultat de cette négociation qui donnera une bonne représentation du poids réel de la France dans l’ensemble européen. Une chose est sûre : la France se bat becs et ongles pour ne pas se réformer et pour continuer à vivre au-dessus de ses moyens.
Les dirigeants français n’ont qu’un obsession: durer
Comme tout le monde le sait les pays du sud de l’Europe sont lourdement endettés alors que les pays du Nord ne le sont pas. On peut en tirer comme conclusion que les uns sont dispendieux et les autres vertueux. À moins que la monnaie unique l’euro ne favorise les uns et plombe les autres.
avant lemaire , d autres ont déjà sacrifié notre Nucléaire pour satisfaire les Allemands qui y voyaient un « avantage électrique « compétitif par rapport a leur industrie ! c était le prix pour qu ils acceptent de nous laisse continuer notre dette croissante pour financer un Modèle Social et Sociétal Utopique !Modèle qui révèle ses Conséquences paradoxales sur la fracture Communautariste de notre République laïque !
« « heureux les Politiques , le Metavers est leur Royaume « «
Donc si je comprend bien, trop d’Europe pour certaine chose comme le pacte sur la dette donc ,on doit restriendre l’EU mais, pas assez quand il s’agit de passer des” lois “.liberticides et mortiferes. La il faut encore PLUS d’Europe. c’est l’Europe bespoke pour le psychopathe/ sociopathe macronescu qui continue de ruiner la France.
La vérité est comme le soleil ou la lune . Les nuages peuvent les cacher un instant, mais ils finissent toujours par réaparaitre.