Depuis plus d’un an, la fin de la régulation des prix de l’électricité, et l’entrée en vigueur « de plein exercice » du marché européen et de son mécanisme abscons de fixation des prix a des effets sociaux cataclysmiques. Alors qu’une organisation libre du marché devrait permettre au consommateur d’acheter son électricité à prix coûtant auprès du producteur de son choix, le marché européen impose un tarif artificiel comme dans tous les bons systèmes socialistes qui se respectent. Pour faire le point, nous avons interrogé Christophe Chirat, fondateur du syndicat Antigone.
Christophe Chirat est restaurateur et syndicaliste patronal. Il nous parle de son expérience et des dégâts causés par la réforme européenne du marché de l’électricité.
On n’insistera jamais assez sur le caractère illibéral de ce marché, qui oblige les producteurs à vendre leur énergie non à son prix de revient, mais à un tarif abscons qui intègre de nombreux paramètres, comme le prix du gaz ou les subventions à l’éolien. Au final, les entreprises françaises sont torpillées par une vision théorique du marché de l’électricité complètement déconnectée de l’activité de fabrication.
Je suppose que comme pour le covid, les entrepreneurs ont compris que la raison climatique est une plaisanterie et que le vrai objectif est une politique de de prédation économique et sociétale comme au temps jadis.
De plus au delà des autres gabegies étatiques précédentes autant du fait gouvernemental que de l’UE, il est question par la volonté et religion supra-nationale et par le sommet de la cop 28 à … Dubai (j’entrevois le sinistre rictus du clown de ce monde) , de dédommager les pays émergants y compris la Chine je crois, pour la prétendue faute climatique de l’Occident (autre rictus). Je présume que seul l’Europe va payer cette facture et particulièrement les pays contributeurs que sont l’Allemagne et la France. Etant donné que devant cette gracieuse distribution de l’argent de cette Europe surendettée, nombreux seront les pays signataires. Nous comprenons donc que la dette n’est pas un moyen mais un objectif.