Sans surprise, la Haute Cour Constitutionnelle (HCC) malgache a confirmé la réélection du président sortant, Andry Rajoelina. L’opposition conteste les résultats et dénonce un « hold-up électoral ». Pour les observateurs, une crise postélectorale menace à nouveau d’éclater à Madagascar.
Vendredi 1er décembre, Andry Rajoelina, candidat à la double nationalité, a remporté la présidence de Madagascar au premier tour, selon la Haute cour constitutionnelle (HCC), plus haute juridiction du pays, malgré l’appel au boycott de dix candidats de l’opposition. L’ancien président a été réélu avec un taux de participation de 46 %, proche des 48 % de la présidentielle de 2018.
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La France a essayé de le refroidir à l’aide de barbouzes pendant la plandémie, et aujourd’hui la communauté internationale valide sa réélection, étrange non ?