Une fois encore, la gauche parlementaire, battue aux voix sur la question de l’immigration, a brandi des pancartes en plein hémicycle, comme ses élus n’étaient rien d’autre que des manifestants défilant dans la rue. Leur habitude de s’opposer depuis l’adolescence les empêche de réaliser qu’ils sont des législateurs, et non plus des militants.
Il y a quelques mois, à propos des retraites, leurs pancartes brandies en pleine séance étaient encore plus explicitement décalées, avec un slogan : « c’est non ! », comme si leur vote n’avait pas suffi à se faire comprendre.
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Ce sont plutôt les enfants des soixante-huitards qui sont dans l’hémicycle : ils n’ont effectivement plus aucune culture, plus aucun repère.
Ni aucune limite…
Et c’est ça qui est le plus dangereux.
Mais bon, s’ils pouvaient nous débarrasser de leurs sinistres ascendants, ça me va.
Mais uniquement de ceux-là, hein, en plus d’eux-mêmes : ça nous rendra service.
Merci pour « les sinistres ascendants »!
‘Vive la nation’ est le cri de Valmy. Pas tant le peuple dressé contre son gouvernement en place, à ce moment précis et par exception patriote, que contre l’étranger envahisseur en appui d’un monarque félon, discrédité et déchu. Ne pas oublier que le problème éternel de la France est la susceptibilité de ses élites à la corruption et à la trahison au profit de l’étranger. Les ducs trahissaient systématiquement les rois au profit de l’Angleterre, de l’Espagne ou de l’Empire. Depuis que la république est, tous les partis de la vie politique française ont toujours eu un tuteur étranger et des références idéologiques étrangères. Dans l’histoire récente, les Allemands physiquement invités en 1940 par la droite, puis les Américains commandant de loin et par l’argent à partir des années 42-43 et jusqu’à nos jours. A tout prendre, les communistes se réclamant ouvertement de la lointaine Union soviétique furent dans le passé les moins dangereux pour l’indépendance nationale. Mais c’était avant. Aujourd’hui : personne ! Je n’oublierai jamais l’assemblée entière, mélenchonistes y compris, applaudissant Zélenski après avoir été initialement hostiles aux Gilets jaunes, puis favorables à la vaccination obligatoire et autres mesures afférentes.
à peine outrancier votre commentaire! on ne peut pas dire que la nuance vous étouffe!
Monsieur Adeline a parfaitement compris l’esprit bolchevique de l’extrême gauche pour qui « l’assemblée n’a de sens que si elle s’y trouve majoritaire » Mais personne n’alerte ou n’informe le peuple du caractère tyrannique de ce mouvement politique. Je ne partage pas l’idée que leur élection procède d’un consentement car le consentement est FABRIQUÉ par la propagande médiatique et l’effondrement culturel des enfants des 68arts. Jadis la démocratie était fondée sur la liberté d’expression et aujourd’hui la censure sévit en Europe. Le cycle politique décrit par Platon montre que la tyrannie succède à la démocratie, nous y sommes. Comme monsieur Adeline je suis nostalgique de la légitimité royaliste. Vive le prince Louis-Alphonse de Bourbon, duc d’Anjou. Rex de jure.
Qui est encore dupe de cette gauche grotesque ? Opposition de pacotille et comédie clownesque qui illusionne par l’argent magique et agite son Goldstein fatigué pour détourner le regard du piège à cons qui se met en place ainsi que le passif monstrueux qui anéantit tout dynamisme économique et engendrera malheur et souffrance qui n’aura rien de distrayant.
PS : piège à cons c’est l’ancien de Goldman Sachs et de la planche à billet qui oeuvre pour le renforcement fédéral de la technocratie toute puissante.
Vous voulez dire « super Mario » ?
Comme par hasard.
Tout serait donc de la faute des soixantehuitards et de la gauche… Alors que la droite est exemplaire?
Enfin franchement ces bisbilles gauche droite sont du théatre. Ils sont tous pareils mondialistes et corrompus.
Peut être que ces pancartes sont conçues pour passer à l’écran?
En ces temps où en dehors de l’écrit et des entretiens de bonne tenue que l’on doit rechercher : la plupart des médias censurent , biaisent , ragotent et oublient d’informer.
Si je me souviens de mai 1968 , j’ai le souvenir de certains débats de très bonne qualité et de discours construits et argumentés qu’on entend très peu de nos jours , car les médias ne sélectionnent pas ce qui leur parait fatiguer l’esprit et, peut être surtout ,le leur.
La mode qui cherche dans les généralités commodes des gauchistes, des extrêmes , des générations l’origine des futilités des arguties échangées me parait caricaturale et facile mais n’apporte rien.
Les autres , dans tous les commentaires , soit ne valent rien ,soit n’ont rien compris ,soit sont restés crédules et infantiles …
le niveau d’un Cioti , d’un Zemour ,et j’en passe bien d’autres de droite et de même niveau ,ne les ont pas empêché d’avoir des électeurs qui semblent n’avoir pas vu ce qui me parait difficile à élire ré.
On n’est jamais seul à choisir et jamais sur d’être tellement mieux (surtout que le candidats sont déjà choisis par des pairs de même tonneau).