L’opinion a souvent (ou pour beaucoup) oublié l’horreur du trafic d’organes protégé par l’OTAN et par Bernard Kouchner en 1999, lors de l’intervention destinée à « libérer » le Kosovo de la présence historique serbe, contestée par les bandits albanais de l’UCK. Ceux-ci ont profité des opérations militaires et de la protection occidentale pour alimenter la mafia albanaise en organes humains gratuits revendus à prix d’or aux quatre coins de la planète. Comme l’affirme le colonel Hogard, la justice considère que Bernard Kouchner n’a absolument rien dit… mais était parfaitement au courant.
Quels sont les crimes que l’OTAN, lorsqu’elle a occupé le Kosovo, a couverts, commis par la milice musulmane albanaise UCK contre les orthodoxes serbes ? Les médias occidentaux restent discrets sur le sujet. Pourtant… le pire y a existé, grâce à la cécité volontaire des troupes occidentales qui « libéraient » le Kosovo du joug serbe.
Jacques Hogard en témoigne, notamment au cours d’une longue interview qu’il nous a donnée hier.
C’est l’occasion de souligner le rôle de Bernard Kouchner dans cette affaire, grand partisan du droit d’ingérence humanitaire : la démocratie avant la paix, disent les néo-conservateurs très liés aux intérêts israéliens… et Kouchner est sur cette ligne, ne manquant jamais une occasion de pourfendre l’islamisme et de défendre les intérêts occidentaux. Manifestement, il s’agit là d’une doctrine à géométrie variable, lorsqu’il s’agit de combattre les chrétiens orthodoxes en s’appuyant sur des barbares musulmans.
Pour ceux qui seraient sceptiques, je rappelle ici le contenu du rapport Marty, de 2011, pour l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe, sur le trafic d’organes commis par l’UCK en 1999, au bénéfice de la « guerre de libération » :
Souvenons-nous que l’OTAN et les USA produisent aussi de la propagande, et que, sous couvert de « libérer les peuples », l’axe anglo-saxon et sa cinquième colonne, sont capables de justifier le pire au nom de la démocratie et de la liberté.
Le traffic lucratif d’organes prélevés ou récupérés sur les enfants ou autres humains fragilisés date du développement de la technologie des greffes d’organes depuis 60 ans. Une vie perdue vaudrait-elle une vie gagnée, est-ce vraiment éthique? Mais ce qui est le plus choquant est le rôle moteur criminel de l’argent. N’envisage-t-on pas actuellement de développer des foetus avortés dans ce but? ou de fabriquer des guerres ethniques? Cela dépasse le code pénal actuel.
Ils sont capables de justifier le pire au nom de la démocratie et de la liberté…
Et même maintenant, au nom de la santé…
Doit-on s’étonner que certains appellent l’Occident « l’Empire du mensonge »?
« L’axe anglo-saxon et sa cinquième colonne, sont capables de justifier le pire au nom de la démocratie et de la liberté » : pas nouveau.
Un triste théâtre d’ombres…
Ignoble!
A quand le procès de l’ogre Kouchner qui a fermé les yeux devant le trafic d’organes. Énergumène qui, de plus, a accusé la France de génocide au Rwanda ?
Ce type a offert son fils a un pédophile et continue a pavaner sur les plateaux de télé.
Reste à savoir s’il touchait du pognon avec cet immonde trafic d’organes.