L’interview de Michel Barnier, vendredi soir sur TF1, était globalement sans équivoque : pour faire passer la pilule d’un redressement des finances publiques, il faudra bien concéder, au nom de la justice sociale, des hausses d’impôts supposées frapper les plus riches. Mais de quels impôts pourrait-il s’agir ? Nous dressons ici un point de ce qui pourrait arriver.
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Dans la pratique, Michel Barnier ne pourra agir seul. Il devra forcément tenir compte du contexte politique dans lequel il devra trouver une majorité :
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Une bonne question serait de rechercher quels impôts devraient être baissés pour que prospère l’activité économique du pays. Notamment les amortissements pratiqués par les entreprises et sensés financer les investissements de remplacement sont dépréciés quand les prix augmentent, une baisse du taux d’imposition des entreprises est donc nécessaire. Un autre abus notable de l’Etat est la taxation sociale des avantages en nature liés à l’emploi octroyés par les entreprises.