Le cartel des médias subventionnés a fait de l’huile sur sa chaise en entendant le nouveau ministre Retailleau répéter que “rétablir l’ordre” devenait la priorité gouvernementale. Comment l’époux non pas de la reine, mais d’une doctoresse de province, pouvait-il faire illusion et attirer les caméras, si ce n’est en répétant une incantation toute droit sortie de la bouche de gens qui ne sont jamais ou presque confrontés à l’insécurité, sauf à celle fabriquée de toutes pièces par la télé-poubelle de Bolloré, soucieuse de marteler que tuer des enfants innocents en Palestine est la condition sine qua non pour endiguer la submersion migratoire ? Bref ! Retailleau répète qu’il va rétablir l’ordre ! mais quel ordre ? Bref, comment faire passer les augmentations d’impôt à venir, si ce n’est en expliquant aux Français qu’on a besoin de plus d’argent pour garantir leur sécurité ?
Tout le monde a entendu le bombement de torse de Bruno Retailleau, illustre Vendéen venu nous expliquer les règles de banlieues qu’il connaît aussi bien qu’un pape connaît les règles du kamasoutra (encore que nous pourrions tous être surpris au train où vont les choses). Il paraît que le bonhomme, qui n’a jamais mis le doigt (ni une moindre partie de son corps) dans la tranquillité publique, va rétablir l’ordre dans un pays prétendument dévasté par les Barbares, les lascars et les racailles.
Great ! On applaudit, mais on demande à voir, avec des résultats illustrés par l’exemple, au-delà des formules paresseuses distillées pour les journalistes subventionnés devenus simples télégraphistes du pouvoir.
D’ici là, les affirmations tonitruantes sur l’insécurité ou sur l’immigration, de la part d’un ministre inexpérimenté et peut-être destiné à “tomber” lors de la prochaine déclaration de politique générale de son Premier Ministre (le 1er octobre), ne manquent pas de faire sourire. L’Etat (et la détention d’un minitsère) sert-il à agir concrètement au service des citoyens, ou à faire tribune pour des propos ronflants qui ne seront jamais suivis d’effet ? Nous allons le savoir dans les prochains jours.
Mais les propos de Bruno Retailleau posent une autre question. Celle de l’utilité d’un ministre de l’Intérieur.
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Je suis assez d’accord avec vous, sur le fait que les immigrés font des travaux que les français ne veulent pas faire. Cependant, il va déjà falloir diminuer les allocations chomage, au moins en termes de durée. Afin que les français prennent des emplois, au lieu de vivre du chomage.
Ensuite, pour les étrangers qui ne respectent pas nos lois et ne veulent pas être repris par les pays d’où ils sont originaires, il faut facturer les frais de prison aux pays dont ils sont originaires. Et expliquer que nous sommes prêts à les garder, à condition que leurs pays d’origine paye les 3 000 boules par mois par prisonnier. Et que si le pays ne veut pas payer, il va falloir que les familles s’y mettent. J’ai travaillé au Zaïre du sinistre Mobutu, et j’ai visité des prisons avec ma paroisse. Beaucoup de prisonniers ne mangeaient qu’une fois tous les 2 jours, et uniquement parce que leur famille leur apportait de quoi manger. Est ce un exemple à suivre ? Je rappelle que Rocard disait : la France n’a pas vocation à accueillir toute la misère du monde. Elle n’a pas vocation non plus à héberger toute la racaille du monde, aux frais du contribuable ! Qu’en pensez vous ? Vous voulez continuer à payer ?