Dans cette chronique de la royauté, Yves-Marie Adeline dresse un procès en bonne et due forme contre les positions libertariennes d’Eric Verhaeghe. Il défend des idées conformes à une certaine « doxa » alternative contemporaine : pour le monopole de l’émission monétaire par l’Etat, contre l’emprunt à taux d’intérêt sur les marchés financiers. C’est l’occasion d’une confrontation avec les propositions libertariennes d’Eric Verhaeghe.
La question du monopole de l’émission monétaire confié à l’Etat fait désormais partie des tartes à la crème de la pensée dissidente contemporaine : pour garantir le bonheur des peuples, il faudrait réserver le monopole de l’émission monétaire à l’Etat, et surtout permettre audit Etat d’emprunter à 0% auprès d’une banque centrale à la main du gouvernement.
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il serait surtout bon que l’Etat équilibre ses comptes et cesse d’emprunter, tout simplement.