A l'issue du deuxième débat entre les candidats à l'investitutre LR pour l'élection présidentielle, on voit se dessiner des profils plus accentués. Tandis qu'Eric Ciotti s'installe sans complexe à droite, Xavier Bertrand et Valérie Pécresse - les mêmes qui quittaient le parti naguère parce qu'ils en trouvaient la ligne trop à droite - ont trahi leur tropisme macronien en se prononçant pour un éventuel confinement des "non vaccinés". Outre le peu de crédibilité de leur zèle de néo-convertis sur le contrôle de l'immigration, on leur préfèrera sans aucun doute l'esprit de sérieux qui est aussi bien le fait de Philippe Juvin que de Michel Barnier
Voilà que vient de se finir le deuxième débat entre candidats à l’investiture par le Congrès des Républicains pour l’élection présidentielle. Les personnalités commencent à se dessiner plus précisément.
Philippe Juvin: celui qui nous fera oublier Olivier Véran?
J’ai un parcours différent que je mets au service de mon projet : médecin, maire, militaire et expérience internationale.
J’ai une vision pour la France : un Etat fort qui laisse les individus exprimer leurs potentialités.#DebatDeLaDroite #CongresLRpic.twitter.com/LW7RDLLRu6— 🇫🇷 🇪🇺 Pr Philippe Juvin, MD PhD (@philippejuvin) November 14, 2021
Tout d’abord, il y a celui dont les commentateurs ne parlent pas, Philippe Juvin, maire de La Garenne-Colombes et chef du service des urgences de l’Hôpital Georges Pompidou. Il confirme, à chaque prestation, le bon niveau des élus locaux LR. Il a la solidité d’un futur Ministre de la Santé. Effectivement, on se prend à rêver qu’il remplace rapidement Olivier Véran.
Eric Ciotti: l'homme clé du Congrès LR?
Je suis le candidat de la clarté
Je suis le seul candidat au #congresLR à ne pas avoir voté Macron en 2017
Je suis le seul à avoir été avec @francoisfillon au Trocadéro
J’ai toujours été fidèle à ma famille politique
Je porte un projet de rupture pour redresser la France pic.twitter.com/UH3PJaO50Q— Eric Ciotti (@ECiotti) November 14, 2021
Ensuite, il y a Eric Ciotti, celui, très clairement, qui s’était imposé durant le premier débat. L’homme parle au coeur de bien des adhérents parce qu’il n’a pas peur de s’afficher de droite. IL ne s’est pas laissé intimider, ce soir, par les journalistes qui voulaient qu’il se démarque d’Eric Zemmour critiquant la naïveté coupable de François Hollande laissant entrer des réfugiés, à l’automne 2015, alors qu’on l’avait prévenu qu’il pouvait y avoir des djihadistes parmi eux. Ciotti a tenu bon, aussi, quand les intervieweurs ont voulu lui faire dire qu’il avait tort sur l’afflux de deux millions d’immigrés (y compris les clandestins) pendant le quinquennat Macron. Ce n’est pas seulement que la France tient son futur Ministre de l’Intérieur en cas de victoire du candidat LR. Eric Ciotti va certainement peser lourd dans le choix du candidat s’il réussit, comme c’est probable, un bon score au premier tour.
Xavier Bertrand: et Valérie Pécresse prêts à reconfiner les non-vaccinés
Valérie Pécresse (@vpecresse): « S’il y a une recrudescence de la pandémie, j’envisagerais uniquement le reconfinement des non-vaccinés »#DebatdelaDroite pic.twitter.com/lLmmJ46DPp
— BFMTV (@BFMTV) November 14, 2021
Xavier Bertrand (@xavierbertrand): « S’il y a des décisions difficiles à prendre, je les prendrai à l’égard des non-vaccinés »#DebatdelaDroite pic.twitter.com/mKnCLs1ibS
— BFMTV (@BFMTV) November 14, 2021
Si l’on en croit le débrief des journalistes, juste après l’émission, sur le plateau de BFMTV, Xavier Bertrand et Valérie Pécresse se sont à nouveau trouvés sans une sorte de complicité objective pour neutraliser Michel Barnier, le favori du Congrès LR. Est-ce si sûr? Le moment le plus frappant de la soirée est venu lorsque les candidats ont été interrogés sur la décision du gouvernement autrichien de confiner les non-vaccinés. Michel Barnier, Eric Ciotti et Philippe Juvin ont répondu non – pour eux, le pass sanitaire suffit. En revanche, comme le montrent les extraits insérés ci-dessus, Valérie Pécresse et Xavier Bertrand, ont approuvé le principe de la décision prise par le gouvernement autrichien. Ils ont sans aucun doute pensé que c’était adroit vis-à-vis de la partie âgée de leur électorat. En revanche, c’est une réponse qui leur coûtera certainement cher auprès de toute une partie de l’électorat de droite, celle qui place les libertés au-dessus du reste. Au fond, les deux candidats qui ont quitté LR avant d’y revenir ont apporté la preuve concrète qu’ils étaient plus proche du macronisme que d’une politique de droite.
On sent Xavier Bertrand mal à l’aise: il ne cesse de répéter que la droite à laquelle il appartient est « républicaine ». Comme si Eric Zemmour et Marine Le Pen n’adhéraient pas aux institutions démocratiques. Quant à Valérie Pécresse, elle a, sur l’immigration, le zèle des nouveaux convertis: elle se laisse facilement emporter par ses propres slogans comme « l’immigration zéro ». Il faut surtout se rappeler que Xavier Bertrand ont quitté Les Républicains parce qu’ils jugeaient la ligne Wauquiez trop à droite. On serait assez amusé de les voir surjouer sur l’immigration – si le sujet n’était pas si grave.
Michel Barnier : le sérieux paiera-t-il?
La solution pour l’emploi et le pouvoir d’achat: produire en 🇫🇷, travailler en 🇫🇷 et investir en 🇫🇷.
Je baisserai les impôts de production, les charges patronales sur les salaires intermédiaires et supprimerai les charges sur le 1er emploi des jeunes pdt 3 ans.#DebatdelaDroite pic.twitter.com/ZZgsrJO3mW— Michel Barnier (@MichelBarnier) November 14, 2021
Avant l’émission, la tonalité des commentateurs sur BFMTV était de dire que Michel Barnier jouait gros. De fait, l’ancien négociateur du Brexit était ressorti du premier débat mécontent de sa prestation. Après le débat, les mêmes commentateurs avaient décidé que Michel Barnier n’avait pas réussi à s’imposer.
On comprend bien l’auto-persuasion d’un Bruno Jeudy, par exemple, qui a regardé le débat, sur place à BFMTV en compagnie de Patrick Stéfanini, directeur de campagne de Valérie Pécresse et de Jean-Marc Zakhia, communicant de la candidate; et qui donc, proclame Valérie Pécresse vainqueur. « Etonnant, non? », comme dit un autre journaliste bien connu à al fin de ses tweets. Mais de quoi parle-t-on?
Il est intéressant de voir que ce sont les mêmes journalistes qui poussent des cris à chaque formule vigoureuse d’Eric Zemmour et qui se laissent prendre à la démagogie lorsque l’un des débatteurs de la soirée dit qu’il organisera un référendum en juin 2022 pour essayer de prouver que Michel Barnier n’est pas assez ferme sur l’immigration. C’est de la démagogie pure et simple, bien peu à la hauteur de la crise que traverse le pays.
Il reste que Michel Barnier, qui a beaucoup d’atouts pour l’emporter le 4 décembre et qui est descendu sans rechigner dans l’arène ce soir, court un risque: être desservi par ce que Michel Richard appelle, avec une belle lucidité, la « maladie médiatique » des journalistes: « Les médias, souvent, snobent et desservent ce qu’ils disent apprécier, le sérieux, et chérissent ce qu’ils disent mépriser, le spectacle. Voilà de quoi, sans le savoir, Michel Barnier est le symbole et la victime. »
L’enjeu est de taille en effet. On peut – et sans doute à bon droit – penser que l’immigration est un sujet trop explosif pour être laissé à un Eric Zemmour et trop complexe à traiter au niveau européen pour être laissé à une Marine Le Pen. Mais alors pourquoi ne pas mettre en valeur tout ce qui contribue, dans le débat politique du 14 novembre au soir, à construire une méthode réaliste de contrôle de l’immigration – contre tous les slogans faciles?
De toutes façons, toute cette faune disparate finira au même endroit que les autres, dans les poubelles de l’Histoire.
Ciotti, qui porte bien son nom, celui qui serait prêt à enfermer tout le monde et verrait bien un flic derrière chaque citoyen parce que seul le politocard détient la vérité toute puissante, Bertrand, qui n’a jamais rien foutu de sa vie, à part très mal se comporter avec le personnel des (grands) hôtels qu’il fréquente, l’autre truffe molle, Pêcheresse, qui n’a pas fait grand-chose non plus de sa vie, mais prétend détenir toutes les solutions et se voit en égérie d’un parti grabataire et moribond, Barnier, qui après avoir soutenu l’intense corruption de l’UERSS et de ses sbires vient nous faire accroire qu’il est subitement devenu franchouillard, Juvin, qui malgré qu’il émette de temps en temps de bonnes idées a trop le pied dans la polotique et se reniera, tout comme les autres le feraient, s’il parvenait à décrocher la queue du Mickey, sauf _peut-être_ effectivement en tant que sinistre de la maladie, si tant est qu’il trouve au moins une quarantaine de D.Raoult pour le seconder à la tenue des rênes d’un cheval devenu complètement fou parce que corrompu au-delà du réel, encore qu’il soit beaucoup trop conformiste pour oser aller jusque-là.
Ce que ne voient ni l’auteur (ça se comprend, il a lui aussi les pieds dedans) ni la plupart des gens, c’est que le système français est déjà mort et que la suite n’aura plus rien à voir avec, pour le meilleur – heureusement, car il était plus que temps. Ça ne se fera pas sans mal ni sans grincements de dents, mais ça se fera… parce que l’alternative, très simple et unique, c’est une guerre civile sanglante.
Je rajoute que Bertrand et Pécresse sont francs-maçons et « Young Leader », donc directement exclus des gens susceptibles de réformer ce système pourri, puisqu’ils en font partie.
Et effectivement Barnier est quand même gonflé de dire maintenant « Il faut réformer l’UE » alors qu’il y a participé activement pendant des années.
Cioti serait prêt à supprimer toutes les libertés, pour pouvoir arrêter et mettre en prison chaque personne qui semble sur le point de commettre la plus petite infraction, donc beaucoup trop « l’ordre prévaut sur tout ».
Reste Juvin, mais il est très ambigu, évidemment parce qu’il est médecin, donc un peu trop favorable aux mesures « sanitaires », même s’il ne les approuve pas toutes, et qu’inversement, il n’a guère de compétence dans tous les autres domaines.
Donc, le « casting » LR est médiocre, voire mauvais.
Mais peut-être est-ce volontaire pour ne pas risquer de perturber le système en place par une candidature ayant les pieds sur terre et la tête sur les épaules ?
Non, non, il ne s’agit nullement de ne pas risquer de perturber quelque système que ce soit, c’est de l’authentique merdiocrité crasse garantie 100 % made in france, rien de plus que presque rien.
J’ai d’ailleurs oublié un point crucial, car dans toute cette fange nauséabonde, tous sans exception rendraient les thérapies géniques expérimentales mortelles obligatoires s’il devaient décrocher la queue du Mickey – raison de plus pour ne pas s’en préoccuper (et d° pour tous les autres).
Tout cela est vrai Jiff mais vous devez prendre en compte que LR La Ratatouille répond à une demande de l’électorat français hors Zemmour, la classe managériale dont parle Verhaeghe. C’est un cadre mental prégnant. Celui entretenu de la naissance au tombeau par les socialo depuis 40 ans. Voyez comme de l’autre côté du mur des castors, même le RN a dû mettre pas mal de rosé dans son bleu marine. Les réalités vraies et les enjeux sont dissimulés depuis 40 ans. Les 5 bozo ???? du congrès de la louze ???? de bfmwc font partie du spectacle ????♂️????♂️. Avec maqueron &ses LR l’avenir de la France ???????? est une ripoublique bananière du tiers monde dont ils demeureront des pacha.
Ça n’est pas faux, et ça aurait même tendance à être vrai :/
Pecresse et Bertrand sont tous deux « Young Leader » de la « French American Foundation », autrement dit des agents de l’oligarchie, tout comme Emmanuel, Macron, Édouard, Amélie de Montchalin mais aussi François Hollande, Alain Juppé, Jacques Toubon, ou Pierre Moscovici.
En fait, il semble que la dernière et seule chose en date à avoir encore tenté de défendre les intérêts de la France et le bien-être de son peuple soit le mouvement des « Gilets Jaunes ».
En effet, le pouvoir politique tel qu’il apparaît aujourd’hui est en réalité un artefact de pouvoir, il est entièrement dévoué au véritable pouvoir, le pouvoir économique.
Nous sommes ici, avec le principe du « mandat représentatif » en pleine tartufferie institutionnelle !
Dans le contexte du mandat représentatif, le véritable pouvoir échoit de façon opaque, anonyme, à ceux qui financent les partis politiques. En effet, le parti qui gagne les élections, et plus généralement « les partis dits de pouvoir » détiennent en réalité les rênes du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif, le pouvoir de l’ordre judiciaire étant marginal car largement dépendant du pouvoir exécutif. Il en résulte que la séparation des pouvoirs est, structurellement, une apparence contraire à la réalité : alors que l’apparence prévoit des pouvoirs séparés, la réalité donne tous les pouvoirs, sans aucun contrepouvoir institutionnel, aux seuls « fournisseurs de capitaux », c’est-à-dire aux entités qui financent les partis politiques lors de perpétuelles et incessantes élections. Des élections auxquelles on vous encourage toujours vivement de participer, et qui légitiment, grâce au leurre du « suffrage universel », toutes les actions à venir de ceux qui les gagnent ; actions qui vont systématiquement, et de manière assez évidente, surtout aujourd’hui, contre les intérêts du pays et donc à l’encontre de l’intérêt général. Le « suffrage universel », rappelons-le, c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l’aide de suggestions appropriées (sondages, attentats, pandémies, etc.) y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé. C’est ce qu’on appelle la « fabrication du consentement ». Et les médias de masses (presse écrite, TV, radio, cinéma, jeux vidéo, publicité, affichage urbain, sites web, les « wiki », etc.), la plupart « subventionnés » à cet effet, aidant grandement à la manœuvre.
C’est pour cela qu’on a pu dire que « l’opinion, c’est l’erreur du plus grand nombre ».
Ceci permet aussi de comprendre pourquoi le pouvoir politique (et religieux) se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
La séparation des pouvoirs telle qu’institutionnellement comprise, alliée au mandat représentatif est, en réalité, une stratégie utilisée par les « banquiers-commerçants » pour prendre le pouvoir politique à l’intérieur des pays. C’est cette prise de contrôle institutionnelle, à l’intérieur des États européens, qui a permis l’avènement de l’Union Européenne en tant qu’institution. Les institutions européennes ont été, historiquement, faites par et pour les multinationales ; non pour le commerce en général, mais plus précisément pour le commerce des multinationales.
Les Traités européens (traités de Maastricht et Lisbonne qui ne sont que la formalisation politique de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés) s’opposent à toute possibilité de « patriotisme économique » de la part d’États qui ne doivent jamais privilégier leurs propres entreprises « nationales ». Cette interdiction est sanctionnée, institutionnellement et financièrement, par l’interdiction générale des « aides de l’État » ainsi que par les « recours en manquement » à disposition de la « Commission européenne » pour faire condamner les États réfractaires à appliquer les règles de l’Union. Rappelons que les Commissaires sont nommés (non élus) à la Commission européenne par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres, c’est-à-dire en réalité par les actionnaires des multinationales et les banquiers qui ont financé leurs campagnes, et sont donc sous le contrôle de l’oligarchie, dans leurs pays respectifs. La « Commission » aux ordres oligarchiques peut ainsi rappeler à l’ordre (financier) les États qui auraient eu des velléités de déroger à leur propre sabordement. Ce sabordement est, notons-le, « librement » consenti par les États qui s’interdisent, par leur adhésion aux Traités constitutifs scélérats de l’Union Européenne, toute capacité de défendre et de protéger leurs propres ressortissants, personnes physiques ou morales.
C’est pourquoi les hommes dits politiques n’ont rien de « politique », ils sont des « hommes de paille », des « hommes-liges », véritables courroies de transmission des banquiers et des multinationales, réels donneurs d’ordres.
NB : petite reflexion autour du « covid »
Rappelons que le mouvement des « Gilets Jaunes » a été interrompu en raison de l’apparition soudaine du « covid ».
Coïncidence, le « covid », lui, a commencé au moment du lancement de la 5G dans le monde, c’est-à-dire début 2020, alors que les discussions préalables autour de cette technologie faisaient déjà l’objet de nombreuses contestations et notamment concernant l’effet sanitaire des ondes électromagnétiques et l’impact environnemental de cette technologie.
Il est très important de noter que le réseau 5G utilise les mêmes ondes EMF que le « système de contrôle de foule » du Pentagone, c’est-à-dire le système d’armes non létales à énergie dirigée développé pour l’armée américaine (Active Denial System).
La cinquième génération des standards pour la téléphonie mobile pourrait donc être une arme de guerre déployée partout sur la surface de la terre, dans l’espace et sur les mers pour prendre le contrôle de tous les aspects de ce qui est vivant sur cette planète.
En janvier 2007, une première unité de l’armée de l’air des États-Unis est équipée de cet appareil. En juillet 2010, l’ADS a été déployé en Afghanistan, mais n’a pas été mis en service. Les rapports de l’époque ont noté les problèmes opérationnels avec le système. En 2012, un centre de recherche en Russie indique qu’il travaille sur cette technologie. En novembre 2014, une entreprise chinoise présente un système utilisant cette technologie.
Ce déploiement mondial à grande échelle permet aussi de constater que le retour à l’existence d’un monde multipolaire suite au déclin de l’empire américain n’est qu’une illusion. En effet, l’oligarchie ne contrôle t-elle pas les finances mondiales par le biais de la BRI (Banque des Règlements Internationaux – banque centrale des banques centrales) dont la banque centrale de la Fédération de Russie, qui fonctionne sur le modèle des banques centrales occidentales, est membre à part entière ainsi que la Banque Populaire de Chine ?
Rappelons enfin que lors de son discours tenu lors du National Press Club à Washington en 2016, Tom Wheeler, président de la FCC (Commission fédérale des communications) sous l’administration Obama, dira, au sujet de la technologie 5G « qui doit arriver quelqu’en soit les conséquences » : « La 5G rapportera des dizaines de milliards de dollars pour ses propriétaires à travers des conséquences « imprévues et involontaires… » ».
Alors, le « covid », une pierre deux coups ?
Suite : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
Votre analyse mériterait ici un article à part entière, elle est fort synthétique donc magistrale, rappelle les tenants et les aboutissants de notre Constitution de 1958 et son préambule de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (ONU, 1948).
Concernant la technologie, tant que le pouvoir n’interdit pas de débrancher les réseaux et notre ordinateur de ceux-ci, nous possédons encore pleinement notre libre arbitre. Seule notre Servitude Volontaire (Étienne de la Boétie, 1574) nous maintient encore dans la phobie, la schizophrénie, la paranoïa. Peur de qui ? Du minable de l’Élysée ? Verba Volent 55 : « Paroles, paroles, paroles » aurait dit Dalida ! Et une antenne 5G est très facile à détruire. Le système technologique actuel n’a aucune pérennité car il est très fragile et énergivore, c’est pire qu’un colosse aux pieds d’argile.
J’utilise en permanence l’URSS et sa chute comme métaphore contre les angoisses contemporaines. Plus ces dernières sont « mégaloparanoïaques », plus le système d’oppression touche à sa fin. C’est l’enseignement de la dystopie Terminator : « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir, rien n’est jamais vraiment perdu, seuls les losers et les vaincus d’avance perdent les combats ».
Aurait-on pu imaginer que, dans les conjonctures de folie de 1944 puis de 1990 en Europe, les systèmes concentrationnaires et tyranniques allaient s’écrouler sous peu ? Non, personne n’y croyait plus, et tout le monde se croyait parti pour « 1000 ans de dictature » car ces systèmes idéologiques avaient les mêmes desseins / destins millénaristes que le Great Reset d’aujourd’hui. Leurs émules se croyaient les rois sur le toit du monde « Je vais imposer la vaccination obligatoire à la planète entière » a dit le crétin du 55 le 9 novembre 2021… Et l’on entend la petite musique de sa folie narcissique, peu ordinaire mais objectivement criminelle, continuer dans sa tête de cinglé même si on ne fait que la deviner « Et après les élections d’avril 2022, je demanderai à Jupiter de modifier son orbite autour du soleil car cette planète me fait de l’ombre »… Non, non, ne détournons pas le regard, il en est là de son enflure mégalomaniaque !
Et puis, boum, Tour de Babel, tout s’écroule, tout implose !
Voilà ce à quoi il faut se préparer pour l’après néo nazisme du 55.
Toute cette forfaiture internationale va bientôt imploser et s’écrouler sur ses bases très fragiles.
Et elle apparaîtra dans toute sa faiblesse : 1.000 gérontocrates allumés de la high tech pharmaco financière (malthusien et eugénistes) sous perfusion de cocaïne ont mis à feu et à sang la planète pour espérer prolonger leur espérance de vie de quelques années…
Et c’était tout…
Il fallait juste les mettre hors d’état de nuire.
Un stand de tir, c’est tout.
Les abattre comme on a écrasé le bunker de Berlin sous les bombes.
Ce n’est ni une promesse ni un rêve, c’est une certitude.
Le crétin du 55 : voilà une formulation bien trouvée.
Espérons qu’elle deviendra invalide en 2022 et que la cauchemar dans lequel nous nous débattons tant bien que mal s’arrêtera.
Comment peut-on être assez naïf pour ne pas voir que toutes les mesures qu’on nous impose ne sont rien d’autre sont un passeport pour l’enfer. Que deviendront nos sociétés si nous abandonnons le droit de de disposer des libertés fondamentales ?
Beaucoup de choses sont à déconstruire et à reconstruire. La tâche est immense.
En tout cas, merci pour cette note d’espoir.
Ce commentaire et le précédent nous offrent des analyses intelligentes et pertinentes qui nous changent du conformisme (pour ne pas dire de la bêtise) de celles qu’on nous offre quotidiennement.
… »ne pas mettre en valeur tout ce qui contribue, dans le débat politique du 14 novembre au soir, à construire une méthode réaliste de contrôle de l’immigration » je m’excuse mais ça me semble laborieux.
Quand on joue contre son camp, quand on joue contre son peuple, on est cuit.
Le nazi du 55, Pécresse, Bertrand, Barnier, ont leur carrière derrière eux et ont atteint leur niveau de compétence régionale ou technocratique, les premiers après avoir été des ministres sarkozistes falots, le deuxième ayant été Commissaire Européen qui est un placard doré pour pré retraités.
Ciotti et Juvin sont les vraies forces vives de LR et vont rejoindre Zemmour après avoir été évincés de cette primaire pour le poste de Premier Ministre du locataire du 55 s’il est réélu. Mais cette hypothèse tient de moins en moins la route car 2022 achève 10 années (40 depuis 1981) de socialisme infernal que les électeurs vont solder dans les urnes par lassitude et dégoût, éjection de la sordidité et des horreurs accumulées dans ces laps de temps. Donc cete réélection elle n’est gagnée que dans les sondages payés par l’Élysée sur la cassette de la Nation, sondages qui par courtisanerie ne mettront jamais le petit marquis empoudré à l’étiage réel constaté, on connaît les algorithmes et on ressent déjà l’angoisse des journalistes de régime, puis on se rappelle la campagne de Trump aux USA en 2015-2016. Nous disions à l’époque : « Vivement que cela nous arrive en France ! »
La probabilité est donc forte que la situation volcanique de notre époque contemporaine en Europe accouche de propositions politiques radicales, et non du centre qui sera éjecté car lourd, apathique, mou, vaincu, collaborationniste. Si le centre réussit sa continuité dans ses ontologiques mollesse, procrastination et faiblesse, alors nous aurons droit à la phase terminale des Accords de Munich et de l’Étrange Défaite, dont le procession de composition ou de décomposition est déjà bien avancé avec le nazi du 55, le dernier fossoyeur de la France.
Ciotti et Juvin ont raison comme Zemmour, « La France n’a pas dit son dernier mot ». Les trois autres font leur dernier tour de piste et termineront en fond de course. Font-ils envie ? Beurk ! A-t-on envie de clones du nazi du 55 ? Beurk !
Denis Payre a été écarté car trop proche du programme Fillon, donc bien trop dangereux pour la droiche que représentent tout à fait Barnier, Bertrand et Pécresse . Lui aurait eu une vraie crédibilité, venant d’ailleurs que du sérail . Que cette fausse droite crève le plus vite possible sera ce qui pourra arriver de mieux .
« Confiner les non-vaccinés » alors qu’ils sont les moins à même de propager le virus, puisque déjà exclus d’une bonne partie de la société ?
Pour moi, Bertrand et Pécresse sont à éliminer d’office.
Quand on fuit le bateau en détresse, on ne devrait pas avoir le droit d’y revenir après le colmatage.
Je connais mal Juvin, son cv médical et militaire plaide en sa faveur.
Barnier me paraît le mieux placé même si je le crois trop européen pour parvenir à certaines décisions contraires à l’évangile européiste.
Ma préférence va à Ciotti, que je suis depuis des années, toujours droit dans ses bottes et présent à l’Assemblée où il n’a jamais eu peur de se faire entendre.
Bonjour, encore une bande a mettre dehors ces bons sujets de la droite encore plus a droite que la droite,a force ils sont dans le fossé de droite.
Surtout ,par la suite, ne pas leur confier un emploi dans un gouvernement quelconque ,voir même aucun emploi tout court ,qu’ils goûtent a ce qu’ils veulent imposer aux autres habitants de France.
De l’extrême gauche à LR, c’est-à-dire toute la gôôôche, ils voteront tous Macroncescu « pour faaaiiirrre baaaaarrrrraaaaaagge ».????????????
C’est grâce au SYSTEME que tout ce « beau » monde (sé)vit !!!????????????
LR est un parti de droite pour ceux qui pratiquent « le politiquement correct » donc un parti de guignols, un parti de cou illes molles dont la plupart des leaders sont ou seront les petits caniches de Macroncescu !